01.
identity
Ta naissance marque les esprits
Wednesday Ethelina Stuart, tu es la première
femme à naître après tes deux frères, et tu t’assures d’en être fière. Tu es une
sang-mêlé,
irlandaise, et du haut de tes
28 ans tu pries chaque années les étoiles pour que le soleil te laisse voir entre ses rayons un époux, ce qui témoigne de ton
hétérosexualité. Tes opinions politiques paraissent étranges mais semblent te rattacher aux
incendio, du moins c’est ce que ton amour pour la vie laisse croire. Tu sièges actuellement en tant que
Jury au conseil de justice magique sans réellement prévoir une évolution particulière dans ta carrière. Tu voles ton apparence à
Tiera Erde (Gundam 00) mais n’a pas de référence IRL pour le moment parce que j’ai (encore) la flemme.
02.
personality
Tu es l'océan, Ethelina. Ton caractère est trouble comme les eaux, tes envies sont des vagues hautes prêtes à renverser le monde, ton ambition prend racine dans les plus lointaines profondeurs de la terre. Tu bordes, tu contrains. Tu es accessible pourtant tu pourrais tuer, laisser les ignares se jeter, convaincus qu'ils sauront flotter au-dessus de toi, mais ils se noient – et tu n'en as pas les mains sales : c'est eux qui ne savent pas nager. L'indépendance même, ils veulent tous le cœur de l'océan mais il n'en est pas un qui sache comment s'approprier les flots de ton corps et de ton esprit ; tu t'échappes toujours entre leurs doigts, revient dans la rivière, glisse pour te retrouver plus seule que jamais : dans les flots des plus grandes mers.
Répandue, contenue. Sur les plages tu viens chatouiller les consciences, disparaissant dès qu'on s'approche pour t'effleurer du bout des doigts. Tu séduis les cœurs des voyageurs, de ceux qui pensent fouler les frontières mais ils ignorent que toi, ils ne te fouleront jamais. Petite insolente endormi laisse couler au fond des eaux l'arrogance mal placée pour laisser gouverner la politesse et ses fourberies ; que les algues qui dégoûtent ne soient qu'en surface des nénuphars qui attirent, pour qu'enfin s'engouffrent les âmes dans tes belles paroles avant de s'y coincer comme dans de la vase.
Mais comme cette immensité qui bordent les rives tu es aussi sujette au temps, qui s'énerve, qui s'apaise, qui laisse passer les rayons du jour sinon t'en prive de par ses nuages noirs. Tu le sais : tu ne vis pas selon tes propres dictâtes mais aussi en laissant la vie te guider, aux corps de chacun ; sorciers, cracmols, qu'importe le sang l'eau n'est infâme pour aucune peau. Si finalement, tu n'étais qu'une bouteille à la mer, peut-être serais tu un papier immaculé capable d'accueillir le message de tout le monde, mais ne le révélant à personne. Cachotière est un terme qui t'habilles bien mais tu t'en excuses toujours d'être simplement l'amie parfaite, aux secrets de plombs.
03.
magia
Baguette magique ; 32,8 centimètres, bois de chêne blanc, coeur en serre de harpie, fine, peu flexible. En son manche, là où doit reposer son index, Wednesday y a taillé les contours d’une licorne.
Epouvantard ; Un cadavre rampant qui prend l’apparence de ses frères et soeurs à chaque fois qu’il secoue la tête. Le plus souvent elle y voit Thursday en premier. (Après neutralisation, il devient poussière et forme une licorne au sol).
Patronus ; Un pogona nain.
Reflet du miroir de rised ; Un berceau portant un bébé endormi.
Odeur de l’amortencia ; La douceur sucré du gewurztraminer, le bois qui crépite dans la cheminée, le shampoing à la lavande.
Créature inspirante ; Les sorciers ?
Animal de compagnie ; Wednesday entretient un grand terrarium où cohabitent plusieurs serpent des pins nommés : Jeanne, Sabrina, Adèle, et un chat noir, Salem.
04.
schooling
Cérémonie de répartition ; Rapide, presque renvoyée d'un ton désabusé. Choixpeau aurait pu n'être tenu qu'entre ses mains qu'il aurait su où la placer. Tu es Serpentard.
Satisfaite de ce choix ? ; Jolie couleur délavée, tenu par bien des têtes mais les expressions restaient inlassablement toujours plus travaillées les unes que les autres. Elle fut heureuse de l'avoir eu sur la tête (même une seconde), et s'est obsédée de lui durant toute la cérémonie. (peu d’intérêt pour le reste)
Deux souvenirs marquants ; – Le violent monologue d'un élève à son encontre (elle a été prise à flirter avec un autre que lui)
– Une vilaine histoire avec un professeur qui s'entichait de jeunes filles.
Quel rêve d’avenir ? ; A l'instar de la lune tes désirs évoluent par phase, toujours en concordance avec les envies de papa. Si le violon était d'or à la maison alors la carrière de dessinait d'elle-même, sous l'esquisse des croquis abandonnés, piano, guitare, équitation, natation… Tout ce qu'il apprécie comme qualité devient alors un poste à atteindre.
Plus grand exploit ; Sourire insolent laisse glisser la parole sûre : Wednesday un jour tu t'es permis de corriger un professeur sans laisser lui laisser la moindre chance d'épargner sa dignité. Que l'on soit enseignant ou membre des Stuart ; il ne doit y avoir de place à l'erreur.
Plus grande bêtise ; Sans en être une pour le monde toi pourtant tu t'obstines à te maudire : se cajoler dans les bras d'un professeur pour combler ce père qui te manque, c'est de ta responsabilité aussi, pas vrai ? Mais tu es la petite fille parfaite, Wednesday, et tu sais qu'aux yeux de tous tu n'es coupable que d'être une enfant au moment des faits.
Influence de la maison ; Un serpent est un serpent ; il traîne au sol pour s'enrouler aux chevilles de ceux dont l'opinion est trop haute, chatouille comme un courant d'air qui se perd et alors il remonte, se fait écharpe pour l'hiver : et c'est là qu'il doit tuer en serrant sa prise. Ethelina n'a coupé le souffle de personne mais a toujours fait honneur au caractère des serpentards : vicieuse et curieuse de découvrir combien d'étincelles suffisent à allumer le grand feu.
Niveau d’étude ; Double DEMA en droit et politique magique & sociologie et marketing magique, résultat d'un travail acharné qui ronge tant tes os que tu ne t'es pas vu faiblir physiquement tant ton père trouvait une force sublime en ton intelligence.
05.
story
Tu as ouvert les yeux pour hurler ton bon plaisir d'être vivante, Wednesday, mais dès l'instant où il fut temps de laisser derrière toi ces pleurs intempestifs d'enfant qui ne sait communiquer, tu es devenue une adulte, pas plus haute que trois pommes. Au-dessus de toi deux frères et tu n'y te retrouves pas. Ils sont abruptes, vifs, différents pourtant identiques, rien à voir avec toi. Ils ne sont pas la grâce que tu dois incarner, pas même un quart de ce calme qui te rend si gentille… Et tu l'as vu, dans leurs yeux des parents, comme ton cœur tant qu'il restait pur, faisait de toi une enfant parfaite. Trop maladroite pour trouver ta place dans une fratrie tu te consoles fière première petite fille aux larmes inaudibles et aux colères plates, incarne ton rôle de douceur comme si c'était ton deuxième prénom : et pour que l'on t'aime un peu plus encore, tu sais que tu ne peux aller plus haut, alors c'est aux autres de descendre plus bas. Les dénonciations deviennent monnaie pour t’offrir tout l’amour de père et mère, l'acharnement sur ta personne traduit tes ambitions à dépasser le monde.
Tu quittes le domicile familial pour arborer ta tenue de sorcière, fière ; ambitieuse. Dans les murs de cette école ton père ne peut y poser ses yeux, alors tu dois gravir au plus haut pour lui montrer que n’importe où où l’on te laisse, tu peux toucher le ciel.
Tu y muri, femme avant l’heure. L’absence de tes mères fait grouiller en toi la peur de l’abandon, l’envie d’aimer. Tu séduis, tu veux voler les cœurs, en faire tes propres saphirs à la recherche du diamant pur.
Tes notes sont aussi parfaites que le plissé de ta jupe, jamais un écart, jamais un fil qui dépasse. Tu es l’insolence qu’on crève d’envie, véritable chaperon rouge sous tes airs de douceurs tu caches enfaîte le cadavre d’un loup dévoré par le serpent. Ne se méfient de toi ni les professeurs, ni les camarades. Ceux qui ne t’aiment pas sont jaloux, ceux qui t’adorent veulent être toi.
Tes séjours au manoir sont toujours félicités, appréciés. Tu en ignores les comportements de tes frères et sœurs dans le milieu scolaire : ils sont ta famille, pas tes élèves. Alors tu les dénonces à la maison, quand ils s’extirpent dans la nuit pour vivre leur folie, te fais pardonner d’un sourire ; on ne déteste jamais véritablement une sœur. Pas vrai, Friday, Saturday ?
Dix huit ans Wednesday et tu quémandes qu’on t’appelles Ethelina entre amis, délaisse un peu cette partie de toi qui a toujours vécu dans la quête d’amour, pour te découvrir : en marge, dépassé par ce toi trop parfait tu aimes finalement l’imperfection, les cassures de la vie, les brouillons des envies. Quelques esquisses cachés entre tes mains tu transformes ce qui est étrange, le rend beau : alors on plisse les yeux mais n'émet aucun jugement. Venant de toi tout est particulièrement fascinant.
Depuis que tu t’es détachée de la famille tu cultives dans ton petit chez toi tout ce qui fait de Wednesday la fière Ethelina que tu as trouvé au fond de toi, occupant les weekends ; le domicile de ton père. Jamais les mains vides tu déposes dans chaque pièce toujours un peu de toi pour ne jamais réellement disparaître, privilégie les instants passés avec ton paternel et fais honneur à ta réputation de petite pipelette quand la fratrie s’invite elle aussi.
résumé
Depuis petite, cherche à être la meilleure pour se sentir légitime
• A la naissance de Thursday elle devient plus mature, moins solitaire
• Sa mère lui manque jusqu’à ce qu’elle comprenne qu’elles ne seront jamais réunies
• Comble l’absence de sa mère en étant focus sur son père
• Pas perturbée par l’arrivée de Rachel, sa belle-mère
• Se bagarre intelligemment avec Friday pour toujours être la victime
• Pas perturbée par la nouvelle disparition de sa belle mère
• Ni par l’arrivée de Patty, deuxième et nouvelle belle-mère
• Éclat de joie à la naissance de Saturday
• Un peu lassée par l’arrivée de Sonday mais ne le néglige pas
• Scolarité parfaite
• Ignore la fratrie à l’école
• Mais les sabote à la maison
• C’est seulement en dernière année d’ASPIC qu’elle commence à vivre pour elle
• S'émancipe sans couper les liens
• Continue d’entretenir des liens forts avec la famille, mais développe aussi de nouvelles relations extérieures
• A choisi de faire du droit pour faire peur à Baron.
• S’est acheté une petite maison qu’elle retape.
06.
facts
carré au-dessus des épaules depuis l'enfance
• les cheveux longs ça a l'air encombrant
• couleur violine depuis ses 16 ans
• iris bruns très profonds, qu'on peut croire ébènes mais porte des lentilles rouges
• la peau pâle parce qu'elle ne rencontre pas énormément le soleil
• grande frêle et fine
• pas de sport et peu de muscle
• prend des joues en hiver
• consciencieuse sur son apparence
• look atypique, jamais sans un chapeau
• good chaotic
• amoureuse de la représentation des sorciers dans le folklore moldus
• n'entreprend que ce qu'elle peut réussir
• célèbre la walpurgisnacht en organisant une grande fête entre sorciers
• aime entretenir le malaise
• se réserve pour le mariage
• n'a honte de rien
• humour noir, sinistre, et gênant
• possessive et matérialiste
• pressée de se marier
• collectionneuse de tout ce qu'elle trouve original, mais surtout des cristaux et des beaux bouquins
• grande amatrice de bon vin
• tapote ses longs ongles partout
• à la maison ça oscille entre rap et opéra
• très expressive du visage
• n'a pas peur des je t'aime ni des je te déteste
• tactile
• s'amourache et se détache pour un rien
• se teint les cheveux chez les moldus parce qu'elle aime bien discuter au coiffeur
• sa passion c'est dire les vérités qui dérangent
• croit au destin
• capable de parler une dizaine de langue (pas couramment) & continue d'en apprendre d'autres
• coincée entre la jeunesse folle et la vie d'adulte stricte
• suit ses coups de tête sinon obéit à la stratégie
• passionnée d'art
• du genre à ghoster
• à la fois sinistre et solaire
• si on lui dit non elle ignore ou force pour un oui et après elle ignore quand même
• désir de pouvoir
• mais pas de responsabilités
• cherche les limites