- Ulysse est né dans la famille Cornwell, famille conservatrice, le regret de ne plus être des sangs purs. Alors aucune erreur n’est tolérée. Depuis sa plus tendre enfance, on lui dicte ce qu’il doit faire ou ne pas faire, mais il a de la chance Ulysse, il ne subit pas les pires maltraitances à l’instar de son cousin, non, lui se prend une ou deux fois une tape sur les doigts et des remontrances : il ne peut qu’obéir sans jamais blâmer ses parents qui font leurs possible pour ne pas franchir ce point de non-retour.
- Il a une cousine aussi, une cracmol, il les a rencontrés parfois au diner de famille, Vanitas et sa cousine paraisse b i e n. Illusion dont Ulysse se doute tant il a conscience de la dureté de sa famille : et pourtant, c’est toujours mieux de fermer les yeux et d’être le fils parfait. Enfant puis adolescent égoïste, il se laisse bercer dans cette illusion que t o u t v a b i e n et surtout que tout ceci est n o r m a l.
- Une fois rentrée à Poudlard, Ulysse ne perd pas la face car il sait, même si ses parents sont moins violents que ceux de son cousin, ils sont pas pour autant moins e t o u f f a n t. Ulysse vit dans cette impression d’être en permanence o b s e r v é. Alors il continuera d’être cet élève parfait, cette représentation qu’on veut de lui.
- Une fois chez lui, il le voit bien sur les visages de ses parents : on est fier de lui, on le complimente, le pressant pour être cet enfant parfait tant attendu et parfois, dans des soirées un peu trop alcoolisées, des espoirs qu’ils auraient mieux fait de garder pour eux se lâche entre deux rire : « haha tu pourrais bien être le prochain chef de notre famille » disent-ils. Ça marque. Ulysse rit jaune, il sait pourtant très bien que son cousin est pressenti pout ce rôle et pourtant ça le travail, il se sent un peu plus oppressé, partagé entre cette obligation de rentrer dans le moule et cette envie d’un peu plus de liberté.
- Les années passent, Ulysse commence à se passionner pour l’art, il s’arrête plusieurs fois dans des musées pendant son temps libre. Persuadé que c’est sa voie. Il prendra sa première liberté en choisissant d’effectuer un DEMA en art magique et se montrera même volontaire pour participer à un échange scolaire en se rendant à Beauxbâton quelques années : ses parents prennent très mal la nouvelle, ça crie, ça cherche à le dissuader, on pensait qu’il se lancerait dans la politique sans doute. Ulysse n’entend rien, Ulysse s’en va.
- Ulysse passera de nombreuses années en France, après la validation de son DEMA, il se lancera corps et âme dans sa passion, enchainera les petits boulots pour vivre et a côté sa famille le laissera en paix voyant que c’est Vanitas qui est pressentis pour être le chef de famille. Ca l’arrange, toujours égoïste, Ulysse préfère rester loin et fermer les yeux sur les malheurs de son cousin.
- Entre temps, on entend parler de The Crow : Ulysse entendra ses parents complimenter cette nouvelle figure. Ulysse comprend, mais n’idolâtre pas. Il préfère rester en France et continuer sa petite vie, observant de loin sans réagir et ce, sans se douter du raz de marée qui va lui tomber dessus bien plus tard.
- The Crow tombe, ses parents tombent dans la foulé, il apprend leur incarcération a Azkaban suite a leur soutient a ce dernier et a leurs utilisation de la magie noir. Ulysse a conscience qu’ils sont surement allée trop loin mais il en veut à son cousin d’avoir dénoncé ses parents, il se sent trahis : rentrera en Angleterre pour lui dire ce qu’il en pense, le blâmer : évidemment ce ne sont que des mots, sentant que Vanitas reste droit dans ses bottes, il préfèrera continuer sa vie, ne manquant pas de lui lancer des piques à chaque repas de famille : Ulysse est devenue que rage, une colère envers son cousin mais aussi une colère envers lui-même de ne pas avoir été plus présent pour ses parents.
- Il continue de peindre, il continue d’enchainer les petits boulots, plus affirmé, il apprendra récemment la disparition de son cousin : il se sent un peu perdu, il ne sait pas quoi en penser, il déteste Vanitas mais pas au point de vouloir sa disparition, on l’interrogera évidemment, il restera de marbre : comme on lui a toujours appris, le paraitre c’est tout ce qui compte.

résumé :