Tu as aimé. Tu as aimé à t'en déchirer le cœur, tu as aimé à en perdre la raison, tu as aimé à t'en écorcher la voix alors que tu hurles son sinistre titre. Il ne répond plus. Il n'a jamais répondu. Tu tendais la main vers un trou noir, vers une plaie béante. Il a posé ses mains sur ta gorge et l'a marqué, il a planté ses crocs dans tes poumons pour t'en arracher un hoquet douloureux, pour te laisser un souffle au cœur. Il t'a laissé des bleus à l'âme. Maintenant tu marches aux côtés d'un souvenir qui te sourit tendrement. Tu l'as inventé, ce fantôme, tu le laisse te donner des surnoms affectueux, tu le laisses effleurer tes cheveux. Tu te demandes même parfois si ce n'est pas toi la page recouverte de rayures maladroites pour cacher les blessures et si ce n'est pas toi qui le suit avec désespoir.

Tu te tords en deux tu hurles tu déchires la peau tu laisses ta colonne vertébrale se tordre dans un bruit malsain, dans de fins et presque mélodieux craquements, tu bois à t'en rendre ivre ; les remords et les poèmes froissés dans ta main juvénile et chaste d'autrefois.  Ces poèmes que tu connais par cœur encore aujourd'hui. Tes poèmes. Si je vous aime ? Ô Dieux ! Mes sentiments, mes parjures, ma fuite, mon retour, mes respects, mes injures. Mon désespoir, mes yeux de pleurs toujours noyés, quels témoins croirez-vous, si vous ne les croyez ?
Il relève ton menton. Ce souvenir revient. Il te sourit encore. Parfait dans sa chemise, cette odeur te prend, te fais trembler, puissant, destructeur. « Vengez-moi, je crois tout. » Rire, rire qui brise le silence, ton silence. Il croit et il ment. Et toi ? Toi tu t'effondres, ruine fragile et risible.

Inspiration difficile dans un fond de lit humide. Draps qui se froissent sur la musique d'un réveil morbide alors que les oiseaux dehors hurlent pour attirer ton attention. Carcasse qui se traîne pour arracher un bout de tissu qui recouvre ton corps frêle. Toujours frêle. Porcelaine instable au milieu de cris de guerre que tu ignores. Rideaux de cils blancs qui tombent en cascade sur des yeux immaculés. Reflet reflet dis moi lequel est le plus brisé. Tes fissures de verre ou mon âme qui se languit. Recouvert de blessures. Tiennes, siennes, autrui et ange en colère, que ce soit la mâchoire du loup, le baiser d'un couteau ou les éclats d'une baguette tu ne fais que les exposer maladroitement.

Croyance tu essaies de peindre ton portrait mais des plumes de cygnes viennent s'embourber dans la peinture de tes pinceaux. Âme en peine âme fluette, discret personnage qui se glisse dans les couloirs, sans un bruit car ta voix ne porte pas bien loin. Elle est brise sur une nuque dénudée lors d'un matin d'été, elle est nuage de lait dans un café amer et acide. Tu es bien trompeur. Tu gardes cette même apparence, parfum flottant de coton et d'amende, tu épouses parfaitement les courbes de toutes les peines perdues, tu accueilles dans tes bras les larmes des perdus et des blessés mais tu fais ça par habitude. Tu as toujours été comme ça, avant tu y donnais de ta personne mais maintenant ? Maintenant c'est froid. Maintenant tu écoutes et oublies bien vite, maintenant tu ne laisses plus d'empreinte dans le psyché de ceux qui s'abandonnent à tes mèches blanches et ton sourire absent. Et le soir, seul dans ton salon mal éclairé, tu te contentes d'apprendre à nouveau comment tenir ce rôle. Tu relis les chapitres de ton âge d'or et mimiques avec grâce tes répliques et couplets. Tu calques tes gestes sur ton ombre.

Tes doigts tâchés de nicotine se crispent quand l'humour est mit sur la table, alors tu forces un léger rire discret. Tu ne le comprends pas, tu ne comprends pas l'homme qui se dresse devant toi, tu as oublié comment paraître -acceptable- comment être -parfait- alors tu préfères tenir une discussion avec tes songes. Tu jouais de la musique aux bruyants et aux violents et ta musique seulement venait se mêler à eux mais maintenant qu'elle n'est plus tu dois te salir toi même. Tu dois plonger dans cette cruauté qui t'a bien trop dévoré étant jeune. Cruauté que tu t'affliges presque. Tu as tué ce cygne, Croyance, celui qui s'embourbe dans la peinture blanche, maintenant tu es froid. Maintenant tu es acide, statue fissurée qui observe de toute sa hauteur, statue qui protège un bien triste cimetière familiale. Tu as perdu ta patience tu as perdu ta candeur et avec ta douceur, tu as le droit, tu te donnes le droit. Tu as perdu et les perdant ont ce goût métallique au fond de leur gorge – ton sang – irritable. Tu ignores pourquoi on s'ouvre devant ton regard éteint et ta mâchoire crispée. Papa disait que c'est parce que tu ressemble à un ange. Maman disait que c'est parce que tu es bon. Toi tu t'allumes une cigarette et continues ton chemin. Les anges fument pas d'clopes, les bons cœurs déchirent pas les autres.

Déchire moi brise moi fissure mes ligaments fait saigner mes gencives je te donnerai mes yeux je te donnerai un bout de mon cœur je te donnerai la mort si tu me rends la vie.
Quelque chose brûle dans mes entrailles, ça s'agite, c'est acide ça dévore tout, ça ronge mes os ça infecte le creux de mes veines c'est une demande. Un ordre. Une vengeance qui se fait longue. La candeur y est passé la douceur est morte il y a peu la tendresse va bientôt s'effacer. Poings serrés si fort que les ongles s'enfoncent dans la peau, à sang à sang à sang les lèvres mordues, à sang à sang à sang les phalanges pour avoir brisé les reflets.

Il écrasera son mégot sur ton front pour y laisser sa signature.

Croyance. Respires. Tu es vivant – à peine – Croyance regarde la lune comme elle est belle – elle me fait mal – Croyance serre moi fort – quel est ton nom – Croyance oublies moi – Tu portais le goût du regret – Croyance, adieu – à bientôt. -   

Comment s'est passé la cérémonie de répartition ? C'est un souvenir tellement écrasé par le reste que tu ne parviens pas à tout restituer, tes sentiments sont comme absents du tableaux. Tu te vois sourire mais tu ignores comment et pourquoi, tu voix tes doigts tirer sur le pan de ta chemise, tu te sais nerveux mais tu ignores son goût.

Est-ce que le personnage était satisfait de ce choix ?  Satisfaction de sa maison, fierté de sa promotion, tu laissais l'or glisser sur ton corps avec joie, tu étais fait pour porter ces couleurs.

Deux souvenirs marquants à l’école
Tu faisais parti des élèves disparu lors de la journée des droits des non magiques. Tu faisais parti de ceux qu'on a enlevé pour expérimenter. Douleur dans le bras, faiblesse du corps, bruits sourds et un mot glissé dans le creux de ta main. Poison qui coule dans ton sang mêlé à ton amour pour lui, crocs brisés, limés, ravagés par la honte de ta nature, mâchoire qui a jamais se crispe quand tu y repenses. L'odeur de ce lit d’hôpital, cette boisson que tu n'aurais jamais du boire avant de sombrer. C'est un cauchemars qui se répète parfois encore dans ta tête, vous étiez légions et vous êtes devenu victimes. On a piqué dans tes veines de l'aconit. Tu ignores toujours pourquoi. Tu ignores toujours qui.

Lames qui s'entrechoquent contre ton adversaire dans un duel d'escrime magique, une colère qui t'es jetée et que tu embrasses pour la première fois. Pour la première fois Croyance tu es furieux, tu brûles de colère tu veux déchirer les tendons et faire couler le sang tu veux boire cette hémorragie et rire de son sort. Valse malsaine et perfide alors que le fer vient marquer vos visages et tu gagnes. Tu gagnes mais tu te sens vide, tu as hurlé et maintenant ta gorge te fait souffrir. Tu gagnes mais tu as honte. Tu étais furieux et tu n'es pas satisfait. Tu voulais plus.  

Qu’est-ce qu’il rêvait de faire plus tard ?  Tu voulais devenir pianiste. Tu l'as été. Tu t'es retrouvé sur une scène devant un immense instrument du diable et tu as laissé tes doigts survoler cette vallée de blanc et de noir. Tu as joué la peine de tes sentiments et chanté le doux-amer de ton départ. Mais ce rêve t'as bien vite abandonné.

Son plus grand exploit   Tu n'as fait que fuir et prendre la facilité, tu n'as pas d'exploits dans les manches de ta cape. On murmure derrière toi que c'est presque anormal.

Sa plus grosse bêtise  ((Tomber amoureux des mecs les plus toxics du monde aller lezgong)) t'étais trop -docile- pour faire quoi que ce soit d'idiot, l'unique fois où tu as fait perdre des points à ta maison c'est le matin où tu as embrassé -Lucifer- l'infirmier, il t'a alors ordonné de t'ôter 10 points -à fait couler son poison dans ta gorge-, t'étais préfet -amoureux-, tu as donc exécuté son ordre -tu t'es maudit- .

En quoi la maison a pu avoir une influence sur qui iel est aujourd’hui ? tristement, aucuns. Ils étaient ce qui te faisait tenir debout mais tu t'amusais toi même à tout détruire avec discrétion et grâce. Tu n'as maintenant plus de contact depuis ton départ.  

Son niveau d’étude DMA en médicomagie  

09/03/2008 ۵ YOUTH
L'union d'Oliver et d'Esmée donna du rouge à tes joues. Dans une campagne éloignée de la ville tu grandis calmement, sans un bruit, lilly of the valley's child  
• Maman est aussi fragile que toi alors maman reste à la maison, tu la vois jouer du piano alors que tu t'endors à ses côté, tu la vois tousser du matin au soir alors que tu te bouches les oreilles. Quel gourmand mensonge que tu te tisses tout autour de toi.
• Le temps passe le temps cours le temps s'affole, Papa travaille toujours à Poudlard, il t'en fait une peinture féerique qui fait s'envoler ton cœur d'impatience.
• Tu l'ignores mais Papa plonge dans un lac bien sombre et dangereux, t'emportant avec lui. Il provoque un loup sauvage, papa, il crache sur un incendie et lui tourne le dos, papa, il provoque une meute, papa, voilà qu'un loup-garou cherche à planter ses crocs sur ton échine.

2019 - 2020  ۵ PREMIERE ANNEE - TRANSFORMATION
Première année à Poudlard et te voilà chez les poufsouffle. Tu n'es qu'un enfant, tu n'étais qu'un enfant. Et cette partie de toi le resteras à jamais. L'enfant qui mentait.
• Lors de l'été 2020, le loup vint se glisser dans ta maison. Il ne fit pas un bruit, le seul hurlement qui brisa le silence fut celui qui sortit de ta gorge alors qu'il laissa à jamais son empreinte. Il n'aura jamais de nom, il n'aura jamais de visage, juste son crime. Juste l'odeur de ton sang sur ses joues. Depuis l'affront de ta lignée il n'a jamais cessé de te chercher, tu es plus facile à attraper que ton paternel et tu feras plus d’impact. Les aurors mirent trop de temps à arriver le mal avait déjà prit racine.
• Et le mal lui, porte un nom. Ce mal te transforme en démon les nuits de pleine lune mais plonge aussi ta mère dans une névrose irréel. Elle voit sa colombe tâché de sang, elle voit sa colombe s'arracher les ailes, elle voit sa colombe arrêter de chanter.
• Ta première transformation fut un désastre. Ta transformation tu peux l'écrire en détail – ou presque - , ah oui, celle-ci Croyance elle reste. Tu t'es retrouvé seul, seul gamin de 11 ans avec une mère alité et te voilà grandir, grandir, grandir, puis menace. T'es plus un gamin de 11 ans, t'es un loup. Un loup qui s'approche qui grogne qui hurle, un loup qui voit un corps presque mort et tu te dis pourquoi pas l'achever. Pour la première fois t'arrêtes le mensonge.  Alors ta gueule fonce tes griffes suivent et du sang. Du sang du sang du sang du sang.
• Au réveil on t'apprend que Papa est à l’hôpital parce que papa a perdu un œil. Il sest interposé juste avant le drame il a prit le coup de griffe. Quel hero. Quel exemple. On te dira jamais que c'est toi qui lui a arraché mais t'es pas bête, la colombe, tu sais bien. Tu sais bien, t'as même des tâches rouge sombre sous les ongles. C'était toi l’illusionniste. Ton père prend les devants et assume le blâme. Il te sauve la peau. Tu lui arraches un œil et il te sourit. Il avait mal surveillé ta prise de potion tue-loup.

2020 - 2028 ۵ POUDLARD
Tu es un élève studieux. Sérieux. Tu veux donner plus que nécessaire car maintenant avec ta tare sur le dos tu ne te sens pas assez méritant pour arpenter les mêmes couloirs que tes comparses. Alors tu te surpasses. T'es qu'une machine.Une machine qui donne donne et donne sans s'arrêter. Tu sens plus la douleur dans tes jambes tu sens plus ton souffle se faire court fragile tangible.
• Tu t'inscris au club d'escrime, tu ne loupes jamais un cours, tu deviens même Préfet.
• Top surgery à tes 18
• Puis tu tombes amoureux d'un homme qui te détruit mais te soigne avant que tu ne rendes le dernier souffle pour qu'il puisse à nouveau se défouler. Tu tombes aussi amoureux d'un incendie, d'une explosion d'émotions qui reviens toujours recouvert de plaies.
• Tu parviens à survivre.
• - encore les mensonges, ils ne partiront donc jamais , tu survies pas gamin, tu crèves la gueule ouverte et le sourire aux lèvres, aller avoues, tu demandes que ça -

2028  ۵ LA JOURNEE DES DROITS DES NON MAGIQUES
• Océan de foule entre des murs ardoise, chorus de voix murmuré puis une main sur ton épaule et on te propose une boisson. Tu connais ce visage alors tu souris. Tu souris à Judas qui vint faire couler de la lave le long de ta gorge. Comme tu souriais alors que le jour tu l'embrassas il t'écrasas au sol pour poser sa chaussure sur ta gorge et que sa voix coupa méticuleusement ton amour propre déjà bien fragile. Il y avait des somnifères dans la boisson.
• Lumière éteinte, froid. Froid. Odeur métallique et fers qui s'entrechoquent.
• C'est la douleur qui donne un coup de poing dans ton ventre, une douleur que tu ne parviens pas à exprimer tant ton corps est épuisé. Tu n'es tristement pas seul. Tes iris se posent sur ton poignet et tu vois ce maudit chiffre, tu n'es qu'expérience Croyance, tu n'es que test. Tu n'as aucun souvenirs de ce qu'il s'est passé tu ne sais que les résultats. Quand tu as avalé la boisson; blackout. Tu t'es réveillé abandonné dans un lieu en ville avec d'autres élèves eux aussi marqués. Du sang dans tes veines. Tes canines limées.
• Et maintenant te voilà sur un lit. Des voix autours de toi, des voix qui réchauffent ton âme. On t'a récupéré. Tout commence à se calmer.
• Ses doigts glissent le long de ton poignet, ses doigts effleurent ta main, ses doigts ouvrent les tiens pour dévoiler le creux de ta main, ses doigts glissent un papier tout contre ta peau et ses doigts referment les tiens, une légère pression tandis que sa voix s'échappe sur un sujet plus sérieux puis disparaît.
• Ton père entre alors en scène, explosion de larmes de colère de chagrin d'inquiétude. Il annonce alors ; tu t'envoles, oiseau de malheur, tu ne finiras pas ta vie tué au cœur de cette école.
• L'organisation de ton départ prend du temps , toi tu es furieux, tu as besoin de te défouler, tu te retrouves dans une arène contre un homme qui grogne sur ton secret.

2028 - 2030 ۵ BEAUXBATONS
• Ta famille détruite retourne dans la maison familiale de ta mère, en France
• Et te voilà maintenant dans l'école de Beauxbatons chez les Lonicera.
• Rien de notable, tu commences peu à peu à simplement étouffer tout ça. C'est plus simple, c'est plus facile de ne jamais penser. - après les mensonges le déni -
• Diplômé, tu ne commenceras pas à plonger dans la Médicomagie tout de suite, tu as une promesse à respecter.

2030  ۵ PIANISTE
• Une voix vient te parler la nuit et elle te répète sans cesse qu'il reste très peu de grains de sable dans le sablier d'Esmé Halloway.
• C'est alors devant une foule silencieuse et des iris braqué sur tes mains que tu joues une mélodie qui ne t'appartiens pas. Et t'essaies d'ignorer la voix.
• Mais elle est bruyante. Elle est tellement bruyante que t’arrive pas à entendre les applaudissements quand tu termines de jouer. Elle est tellement bruyante quand tu cours dans le couloir pour rejoindre ton père. Elle est tellement bruyante, la tienne, alors que la sienne est éteinte.
• Elle est morte, ta mère, elle est morte. Arrêtes de crier, elle reviendra pas ta mère.
«  … c'est une blague pas vrai. TU M'AURAS JAMAIS VU JOUER, TU M'EN AURAS JAMAIS VOULU QUAND J'AI BLESSÉ  TON MARI, TU M'AURAS JAMAIS HURLÉ  DESSUS, JE FAIS QUOI MOI MAINTENANT ? » et tu prends la main de ton père pour braquer sa baguette sur ton front et tu trembles et tu pleures « POURQUOI JE PEUX PAS OUBLIER ? OUBLIER TA GENTILESSE QUI ME DONNE LA GERBE OUBLIER SA VOIX QUI ME HANTERA OUBLIER CES ANNÉ ES DE SOUFFRANCE ? POURQUOI EUX ILS ONT LE DROIT D'OUBLIER ET PAS MOI ? MERDE » parce que c'est trop facile Croyance. Parce que sinon tu tiendrais debout Croyance. Parce qu'on a décidé de te faire marcher à la rancœur Croyance. «  t'aurai du y passer ce soir là. J'aurai dû t'arracher la tête »
• C'est la première fois que tu jures, c'est la première fois que tu brises ta voix, c'est la dernière fois que tu verras ton père et ta mère.
• Tu verras jamais le cadeau que ta mère t'a fait pour ta première prestation. Tu verras jamais la lettre que ton père t'a écrit.

fin 2030 – PRESENT
• T'as pas attendu que l'adrénaline se taise. T'as quitté ta carrière d'artiste pour suivre le chemin que tu avais érigé toi même.
• Tu deviens alors médicomage à l’hôpital de ste-Mangouste.Tu vends ton âme pour ton travail. On dit que tu sais même plus à quoi ressemble le ciel.  
• Tu sais à quoi il ressemble le ciel. C'est une immense tâche qui se fout de ta gueule.