La soirée s’avance, l’alcool, les rires forcés…
Trois hommes lui font face, et Vanitas écoute attentivement leurs avis. Les hybrides, leurs droits. Il fronce les sourcils, son esprit militant déjà prêt à répartir. Déjà prêt à se dresser, contre les injustices d’un monde de sorciers trop dépassé.
Il est temps d’évoluer.
C’est ce qu’il aimerait leur dire, mais c’est à ce moment-là qu’il capte ton regard.

Neal.
Tu as l’air perdu, définitivement alcoolisé aux rougeurs sur tes joues et ta façon de te déplacer. Il écoute, Vanitas, ces sorciers qui cherchent à lui apprendre la vie. “Vous êtes si jeune”, qu’ils osent lui dire. Comme s’il n’avait rien vécu, comme s’il ne pouvait pas avoir d’avis.
Quelle bande d’imbéciles.

Heureusement tu le sauves. Tes doigts lui prennent le bras, l’attirent à l’écart au milieu de quelques paroles insensées. Et ce sourire, que tu offres, il est tellement faux que ça lui donne envie de te le bouffer.
Alors il rit, légèrement, après avoir seulement pu adresser un (faux) geste d’excuse aux trois sorciers.

- Tu viens d’éviter à ces trois ronflaks une tirade bien sentie, crois-moi.

Accueille entre ses doigts la coupe de champagne, il n’a même pas osé compter combien il en a bu tout au long de la soirée. Trop, certainement, pour être tout à fait en contrôle de ses mots. Tant pis. Entrouvre les lèvres pour goûter au canapé.
Pas mauvais, mais loin d’être aussi appétissant que toi.

Vous terminez dans un coin, l’un de ces endroits isolés derrière de hautes colonnes gravées. Une impression d’être seuls qu’il sait être erronée. Le dos contre la pierre, son regard glisse autour de vous, juste pour s’assurer, avant de se poser sur ton visage. Si près, tellement près qu’il pourrait compter tes souffles sur sa peau. C’est un jeu risqué, celui auquel tu es en train de jouer.

- Bonsoir, répondu dans un sourire. Etre brun te va bien.

T’es prisé, Cornwell.
Il hausse un sourcil, amusé. Tu l’as cherché à ce point, Neal ?

Mais lui aussi, tu sais. Il a surveillé depuis ses conversations animées, capté ton engouement à partir vadrouiller avec Hisao. Ca l’a tellement intrigué qu’il en est venu à aller lui parler, à lui demander, subtilement, ce qu’il se passait entre vous. Ridicule.

- Tu m’en vois désolé. Mais tu avais également l’air occupé.

C’est son monde, toutes ces mondanités. Ces groupes de sorciers aux idées aussi vieilles que la fortune de sa famille. C’est son devoir, celui qu’il s’est donné, d’essayer de les convaincre à changer.

Tu sais que t’es un peu trop beau dans ce costume ?
Rictus étiré au coin de ses lèvres, comme pour faire écho au tien, il ne peut pas s’en empêcher. Tandis que tu arranges son costume, des détails inaperçus, il en profite pour t’observer. Mouve ses doigts contre les tiens quand il les sent l’effleurer. Le regard alerte, pour vous deux à la fois.

Il sait le drame que ce serait, qu’un scandale éclate.

Un nouveau rire, attendri par tes mots.
Par toi.
Tu es adorable.

- Je pense que tu as beaucoup bu, oui. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir tenté d’éponger.

Il t’a vu, au buffet.
Sa main te prend le poignet, en apparence pour replacer l’ourlet de ta manche. Mais subtilement, la pulpe de ses doigts qui effleure ta peau.

- Ne me tente pas comme ça, Neal. Sa main libère ton poignet. On est loin d’être seuls et, crois-moi, la presse a des yeux partout.

Qu’est-ce qu’il se passerait, s’il y avait un nouveau cliché ?

Il se mord légèrement la lèvre inférieure, ne pouvant empêcher son regard de te scruter. Quand il t’observe, il se souvient de cette soirée, et ça ne l’aide pas à se contrôler. Ça ne l’aide définitivement pas à balayer ce petit jeu que vous êtes en train de continuer.

- J’aimerais te prendre dans mes bras aussi. Et t’enlever ce costume pièce par pièce. Il inspire, se pince l’arête du nez pour éloigner cette idée. Je suis désolé qu’on n’ait pas pu se voir depuis… la dernière fois.

Les journées de travail chargées, les déplacements d’un bout à l’autre du continent, tes entrainements, les affaires… Il lance une nouvelle œillade alentours, et en voyant que personne ne vous voit, glisse sa main la plus à l’abri des regards jusqu’à la tienne. Il la serre, quelques secondes, avant de la relâcher.

Puis continue d'un ton qu'il se veut posé :

- Tu es venu avec un ami ? Il ne peut pas résister, et encore, estime-toi heureux qu’il ne soit pas déjà à fouiller dans ton esprit. Vous avez l’air de bien vous entendre, c’est bien. Au moins tu ne passes pas la soirée seul.


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Résumé :
- Le rp se situe après ses discussions avec Hisao et Hysteria
- Il discute avec des vieux sorciers qui ont des idéaux contraires au sien
- Sauvé par Neal ce prince bourré, il se laisse caler dans le canard
- Un peu moins pompette que Neal, il tente d'être la voix de la raison au cours de ce flirt
- Frère déconne pas on sait que c'est de la façade
- Il finit par faire remarquer avec toute la subtilité du monde que Neal est venu avec un pote et que c'est cool (seum alert)

ft. @Neal Wright | WizGala2031

Il penche la tête de côté, occupé à te scruter.

- Je pense que même les cheveux arc-en-ciel t’iraient. Il rit doucement. Mais je te préfère blond, ça adoucit les traits de ton visage.

Non que tu aies des traits sévères à adoucir, mais c’est simplement son avis. Tes doigts passent sur sa mâchoire, ses yeux se ferment dans un léger soupir. Brièvement, une inspiration pour le pousser à se tenir.
A ne pas craquer.
          Tu devrais vraiment arrêter.

Il n’a aucune idée de qui est Dorothy – peut-être vaguement, une personne de ton équipe ? – en revanche, il voit très bien de qui tu veux parler quand tu mentionnes la charmante compagnie. Ses sourcils se froncent, tandis qu’il cherche dans ses souvenirs ce moment qui te pousse à le dire “tactile”. Et sincèrement, il ne se souvient même pas.
Car les gestes avec Jasper, ils sont devenus tellement naturels qu’il ne les calcule pas.

- Je suis tactile, d’accord. Pas assez avec toi ?

Cette lueur au fond de tes yeux, il n’est pas sûr de savoir (vouloir) la décoder. Mais ce qu’il connaît parfaitement, c’est le pincement que tu provoques chez lui. Alors il te prend le poignet, un court moment, en te demandant de ne pas le tenter.
Car si tu le fais, il n’est pas sûr de pouvoir résister.

Tu m’as manqué.
Un battement de son coeur, un peu plus rapide. Tu l’as déjà dit, à peine quelques minutes auparavant, et pourtant… Qu’est-ce que tu es en train de lui faire, Neal ? Vos mains se rejoignent, car tu l’as décidé. Et encore une fois, Vanitas jette un oeil autour de vous.
Il pense à toi.
          A demain, et aux regrets que tu auras si on vous voit.

Mais sa raison est bien faible face à ton corps si proche du sien. Il soupire, doucement, et décide de simplement profiter. Changer de sujet.
Ou pas tout à fait.
Il fait comme si de rien n’était, mais en te voyant aussi joyeux avec Hisao, y a quelque chose qui a grondé. Comme une bête vorace, tapie au creux de son ventre.
Quelque chose qu’il n’a jamais ressenti, avant.

- …

Je parle trop.
Vanitas rit, pas pour se moquer, mais parce qu’il connaît désormais absolument tout votre historique. Et ta sincérité, ta franchise… ça le fait craquer. Il sait qu’il n’a pas besoin d’entrer dans tes pensées pour vérifier, ça se lit sur ton visage que ce que tu dis est vrai.

Ton front est contre son torse, il pose une main sur ta nuque pour la remonter dans tes cheveux. Masse doucement la racine, pensif. Il y a quelque chose que tu as dit qui le turlupine.

- Tu étais fâché, vraiment ?

Ses doigts se glissent entre quelques mèches brunes. Au même moment, tu redresses les yeux, tu lui demandes un nouveau rendez-vous.
Et c’est trop. Sa tête se renverse contre le pilier, son oeil fixe le plafond pour se contrôler. Mais il ne peut pas s’empêcher de sourire. Impossible.

- Combien de fois je vais devoir te dire que tu es adorable ? Il baisse le menton pour revenir à toi. Un rendez-vous, c’est décidé. Tu sais où tu veux aller ?

De frustration, en t’écoutant, il soupire.
Si tu savais comme il aimerait t’embrasser, pour te rassurer, te réconforter, assouvir son besoin de te toucher. Il aimerait te prendre par les mains et t’emmener sur la piste pour danser. Mais pas sur une de ces musiques rock où vous vous contenteriez de sauter comme des amis. Plutôt sur une valse, ou quelque chose de plus intime. Il veut glisser ses bras autour de toi, te maintenir à lui en te parsemant de baisers.

Mais c’est impossible.
Pas ici.

Alors il glisse ses mains sur tes joues rosées, et les descend jusqu’à ton col qu’il fait mine de remettre en place. Encore. Et encore, tandis que ses ongles sur la peau de ta nuque passent et repassent.

Tandis que son regard se repaît de toi.

- … Parle-moi de quelque chose, Neal, n’importe quoi. Sa voix un peu rauque, d'alcool et autre chose. Sinon je ne vais plus pouvoir me retenir de t’embrasser.


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Résumé :
- Globalement, il est t o t a l e m e n t tiraillé entre le fait de maintenir leur réputation intacte en évitant un scandale et son envie de lui dévorer la bouche contre ce **** de pilier.
- On a l'impression qu'il est pas saoul mais lui aussi il a bu pas mal.
- Il écoute avec grande attention absolument tous les détails de la relation entre Hisao et lui, et ça le fait rire jpp
- Glisse sa main dans ses cheveux (on y croit qu'ils sont toujours discrets).
- Evidemment qu'il veut un second date, va falloir arrêter de tourner autour du pot les gars.
- Il a les mains sur ses joues, puis à sa nuque pour faire JOR il remet son col.
- Stp Neal, dit quelque chose avant qu'il te retourne contre le pilier pour te manger merci.

ft. @Neal Wright | WizGala2031

J’ai vu comment ton pote t’a touché le dos et j’ai peut-être surinterprété.
C’est donc ça. Un geste, pourtant si naturel avec Jasper, qui te fait réagir à ce point-là.  Vanitas sourit, mais quelque part, en lui, ça lui fait peur. Ça le terrifie. Car si tu réagis ainsi, comment ce sera, quand tu sauras ? Quand tu verras ce qu’il y a, réellement, entre Jasper et lui ?

Il préfère passer cette question. Il préfère la refourguer, plus loin, dans un coin de son esprit. Ce n’est pas le moment, aussi tôt dans votre relation, pour aborder ceci. Pas vrai ? Vous aurez tout le temps d’y venir, calmement, au moment opportun.

Ses doigts contre ta nuque, le soupir entre tes lèvres. Il t’écoute, attendri. Frustré. Envieux. Impatient. Si tu savais comme il aime ce qu’il entend. C’est un peu pathétique, peut-être, mais Vanitas est ainsi. Savoir à quel point tu le voulais, lui, et pas un autre entre tes bras… Un frisson le parcourt de part en part.
Putain.
Comment ne pas t’accorder ce second rendez-vous ?

Tu lui offres une brève étreinte, son regard une fois encore alentours. Il se met la pression, Vanitas, il ne veut rien gâcher pour toi. Il ne veut pas que tu aies de mauvaises surprises, de drames.

Tu lui proposes un match de Quidditch, aussitôt son regard s’éclaire d’une lueur particulière.

- Avec grand plaisir, j’adore le Quidditch, comme tu le sais. Je te le rappellerai. Il sourit du coin des lèvres. Quant au repas, c’est parfait. Par contre, je suis très gourmand. J’espère qu’il y aura du dessert avant et après.

Un bref clin d’œil.
Et c’est là qu’il craque, de ses propres sous-entendus mais surtout de toi. Là qu’il soupire, désireux de te sentir contre lui. Ses mains qui te parcourent la nuque, qui replacent soi-disant le col de ta chemise. Tu le rends fou. Depuis le début, Neal.

Et ça, il n’a jamais connu.

Sans crier gare, ton chapeau, que tu places au mieux devant vos visages. Vaine tentative de masquer quoi que ce soit. Et vos lèvres, qui doucement se rejoignent. Vanitas inspire, presse instinctivement vos corps l’un vers l’autre.
Mais déjà tu recules. Déjà c’est fini.

Trop court. Bien trop court.

- Neal…

Vos doigts se rejoignent, comme guidés d’un instinct qui se moque bien des quolibets. La tête sur un nuage d’envie, un nuage de toi, Vanitas te suit. Comment on fait, exactement, Neal ? Quand dans sa tête il n’y a plus rien d’autre que les vagues de frissons que tu lui fais ressentir ?

Vous terminez au sous-sol, là où se trouvent les cuisines et les toilettes. Il y a moins de monde, c’est certain, et vous parvenez à trouver un coin. Ce genre d’endroit, entre deux murs et une statue. Un recoin, au sein duquel Vanitas peut te surplomber. Ses pupilles agrandies, son bras autour de tes hanches enroulé.

Vani, embrasse-moi.
Son sourire, incontrôlé.
Et ses lèvres, avides, qui retrouvent les tiennes. Qui se pressent, désireuses d’oublier tout le reste. Il n’y a plus que vous. Rien que vous, encore une fois.


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Résumé :
- Commence à baliser du moment où il devra parler de Jasper à Neal
- Go rdv quidditch, le dessert c'est toi au cas où t'aies pas compris
- osef de la presse, ça part en roue libre au sous-sol

ft. @Neal Wright | WizGala2031

Si tu le lui demandais, Neal, Vanitas pourrait tout te dire. Toutes les raisons qu’il a de te prendre dans ses bras, de te serrer contre lui, de t’embrasser à se perdre comme jamais. C’est fou, tout ce que tu lui as déjà apporté. Tout ce que tu lui as déjà donné. Et même s’il reste des zones d’ombre parmi vos passés, ça ne lui fait pas peur.
Vous pourrez surmonter.

Les frissons le parcourent, au passage de tes doigts. Vanitas se penche, t’offre ses lèvres sans attendre, son corps qui te presse contre ce mur exigu. Encore. Et encore. Tu parles de perdre le contrôle, et c’est tout à fait ça.
         Il a oublié.
Oublié où vous êtes, ce que vous faites, qui vous êtes.
Est-ce vraiment important, finalement ?

Il ne sait plus.

- On s’en fiche. Encore un baiser. On profite.

Alors il te fait taire. Dévore ta bouche, glisse sa langue vers la tienne, animé d’un désir qu’il ne peut pas contrôler.

Tout ce qu’il y a encore, ce sont tes doigts, tes lèvres, vos corps. Pressés l’un à l’autre, comme des damnés à qui l’on octroie un répit, comme des noyés qui s’empressent pour une bouffée. T’es tellement beau, tellement parfait, tellement évident.

Porte-moi.
Il sourit. Parce que ça lui rappelle la dernière fois, à lui aussi. Alors sans se faire prier, totalement perdu dans ces baisers enfiévrés, il se penche pour t’attraper sous les cuisses. Pour te soulever, te plaquer au mur sans cesser de t’embrasser.
Et dieu, pendant ces dix jours, qu’est-ce que tu lui as manqué. Comment il a fait, pour ne pas craquer ? Comment il a fait, sans toi, pendant toutes ces années ?

- Ne fais pas trop de bruit.

L’interdit qui le grise.
Et toujours toi.

Rien que toi.


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Résumé :
- Ca s'embrasse un peu chaud de façon PAS VRAIMENT DISCRETE au sous-sol
- Ca va partir en roue libre savamment étudiée frère

ft. @Neal Wright | WizGala2031

Perdus l’un à l’autre, vos souffles qui n’existent plus que pour s’alimenter. Vanitas oublie, il oublie non seulement la bienséances sur laquelle il s’est toujours volontiers assis mais surtout la prudence. Vous vous embrassez, la chaleur de vos corps devenant si lourde qu’il n’est plus la peine d’hésiter. La porte des toilettes de service, pas celles des invités, est juste à côté. Sans te lâcher une seconde, sans que vos lèvres ne se quittent ou cessent de se découvrir, Vanitas vous glisse à l’intérieur, plaque ton corps au mur.

Putain.
Il oublie.
Il oublie, avec toi, Neal.
Est-ce que tu te rends compte que c’est ce qu’il a toujours tant recherché ?

Une main se libère de tes cuisses pour s’affairer, impatiente. Elle ouvre les chemises, caresse la peau, quand sa bouche continue son travail. Un petit cling quand la pierre tombe de sa poche. Mais Vanitas n’entend pas, il n’y a que toi. Que toi sur ses lèvres, sous ses doigts, jusqu’à…

La sonnerie.
Ses esprits qui se figent.

Et tu tentes, Neal. Tu cherches à le ramener dans votre bulle, tes lèvres sur sa nuque qui le font frissonner. Putain, il a envie si tu savais. Sa main reprend les caresses sur ton corps, ses lèvres cherchent ta tempe, mais c’est plus fort que lui.

Un pressentiment.

Et si c’était important ?

- Attends, murmuré quand il extirpe le pineapple pour l’allumer.

Jasper.
Jasper.
Jasper.
Putain.
Putain, putain, putain.

Son cœur qui s’accélère, et alors, impossible de revenir en arrière. Il ne peut pas le laisser tomber, c’est impossible. Il ne peut pas, c’est au-dessus de lui. Il te regarde Neal, se mord la lèvre un court instant avant de t’embrasser. Longuement.

- Je dois y aller. Il te repose doucement au sol, glisse une main dans ses cheveux pour tirer dessus. Je suis désolé. Je suis vraiment désolé, Neal, je dois vraiment y aller c’est important.

Ses doigts serrés sur les boutons quand il se rhabille.
Avant de sortir.



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Résumé :
- Il tire Neal dans les toilettes de service
- Reçoit un message de Jasper qui lui demande de le rejoindre
- Tiraillé, mais il choisit d'y aller et s'en va (Neal jtm)

ft. @Neal Wright | WizGala2031