|	I fell in love ; with avoiding problems

he was on his way.
alors qu’il venait de te répondre,
que la notification de ton téléphone s’était fait entendre,
tu venais d’avoir sa confirmation : tu ne serais pas seul ce soir.
alors que l’appartement te semble beaucoup trop grand,
de par le manque des dortoirs qui se fait quelque peu sentir,
c’est déstabilisant lorsque tu passes des années avec autant de gens autour de toi et que, soudainement, voilà que tu es maintenant seul dans un appartement.
de par les silences interminables qui se suivent l’un après l’autre,
tu ne te surprends même pas à toujours fuir cet endroit lorsque tu en as l’occasion.
mais cette fois,
tu n’avais pas besoin d’aller passer ta vie sur le terrain.

et ton sauveur cogna à ta porte.

quittant ton fauteuil, filant dans le couloir,
tu sembles faire le bordel à cause de la précipitation de la chose et ce fut en ouvrant grand la porte que tu tombes ainsi nez à nez avec Hysteria.

— putain hyste tu es sûre que je ne peux po venir vivre avec toi et crystal ??? je te jure jme ferais minuscule wsh

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tu savais déjà ce qu’il allait te répondre.
de par le nombre de fois où cette question t’avait glissé tes lèvres,
tu t’attendais déjà à sa réaction lorsqu’il t’entendrait.
mais qui ne tente rien, n’a rien.
du moins, c’est ce qu’ils disent tous, pas vrai ?
alors que certaines personnes ont déjà tout,
toi,
petit toi,
tu voulais plus.

de par sa présence maintenant dans ton univers,
c’est en petit fourbe que tu viens maintenant voir ce qu’il avait bien pu amener et c’est avec une expression de bébé que tu le regardes maintenant dans les yeux.

— reste pour la nuit alors. je te kidnappe !

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et il te répondit.
de sa façon de le faire,
un soupir qui s’échappe et tu hésites.
de par l'égoïsme que tu obligeais sur lui,
tu prends quelques secondes de silence pour voir le pour et le contre de la chose avant que tu n'approches pour voir les plats qu’il avait amené.

l’odeur de la nourriture te chatouillant rapidement le nez,
tu sortis deux assiettes pour vous servir avant que tu ne jettes un regard vers lui.

et que, d’une petite voix, tu ajoutes:

— ... si tu ne veux pas vraiment rester, tu n'es pas obligé, tu sais.