Le monde magique a bien changé dans les années 2000. Il s'est inspiré de la technologie moldue pour évoluer. Ainsi, presque chaque sorcier possède un téléphone portable et un accès au magicnet. Cependant, il est toujours soumis au code du secret et certains conservateurs craignent cette ouverture... surtout dans un monde qui vit encore caché. Les guerres politiques et sociales persistent... (Suite)
le staff
Clovis atlas, ezra, zadig, baron présente
Naomi tom, su-yun présente
Renard alexander, lune, ronan wednesday présente
Lancelot isaac, eleonore, elliot reyn, ciel, friday présente
Cette nuit est une nuit malheureuse cette nuit s'incruste dans tes pensées, elle te murmure une histoire que tu veux oublier, le jour où tu t'es réveillé empoisonné, dépossédé, ravagé et tu n'arrives pas à trouver le sommeil
l'espace d'un instant tu t'es demandé ce qu'il faisait une fraction de seconde sur quelle folie il se penchait quel amour il donnait et depuis il marche dans ton psyché, avec son sourire, avec la façon dont il te regarde et il ne veut pas s'en aller, plongé dans l'encre de cette soirée
lent l'alcool est lent dans tes veines, il prend son temps il te laisse sobre de longues heures alors que tu enchaînes les verres trop effrayé pour sortir et t'abandonner entre les corps et les étreintes trop plein de craintes, tu ne veux pas déranger
et pourtant tes doigts écrivent avec difficulté un message à celui qui siffle dans ton dos une mélodie que tu veux écouter à nouveau
''intéressant'' captivant ton corps qui se lève, tranche les ombres qui t'observent, traverse la foule de fantômes ((ils te regardaient tous))
et après de longues minutes de marche car ton esprit est embrumé par l'alcool et le vice te voilà arrivé toque annonce ton arrivée qu'il dévore le peu de ta vie, entre ses mains tu te sens humain être vivant au cœur battant ((fragile))
alexander pourquoi toi, pourquoi mes pensées ne font que tourner autour de toi
Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Ven 13 Mai - 21:09
nuit heureuse par ce temps qui doucement n'effraie plus les frileux ; alexander a pu chasser pour calmer ses ardeurs, s’occuper de son atelier une fenêtre ouverte - simplement pour avoir la compagnie des insectes.
par l’heure tardive, il parvenu à la fin de ses ambitions, fermant à clé derrière lui l’atelier de ses passions alors il s’apprêtait enfin à rejoindre morphée - jusqu’à ce que ne vibre son pineapple. curieuse idée que de le joindre à la nuit tombée, il prenait pourtant soin de faire savoir qu’il n’avait jamais apprécié être dérangé : « je dors. » se justifiait-il sans tracas alors que, bien trop souvent, il avait les yeux grands ouverts.
un coup d'œil intéressé et l'émetteur des messages finalement lui offrit une optique bien plus amusante que celle de l’ignorance ; il en sourit, à chaque lettre à la première lecture, puis à chaque mot.
étonnamment il pensait que croyance était un bien curieux personnage ; peut-être un enfant perdu qui ne craint ni le feu ni la glace… comment lui faire savoir à quel point alexander savait être les deux à la fois ? sans pouvoir se défaire de cette expression satisfaite, il répondit à ses messages tout en sachant pertinemment la valeur de ses mots.
sirote son infusion menthe poivrée, un alexander affamé de voir ce que sa fatigue et curiosité pourrait bien produire en se mêlant à l’ivresse de son convive ; il l’entend d’ailleurs frapper à sa porte.
d’une lenteur exécrable il se leva du lit qui occupait son salon, afin de lui ouvrir. sans le faire entré, il se contenta pour commencer de l’observer silencieusement - et quelle délectation que de l’entendre prononcer des mots si lourds de sens.
« en tout cas tu parles mieux que tu n’écris. »
il tend un bras, prenant cette pauvre âme perdue contre lui, d’une étreinte étrangement chaleureuse qui lui servi à le faire entrer sans qu’il ne trébuche.
« alcool ? drogue ? » il le manipule comme son objet, le coinçant dans l’entrée pour inspecter ses bras ; il avait relevé ses manches. « hm… alcool. » il posa une main sur son front, le temps de quelques secondes. « tu t’es nourri ? » il l’abandonna alors pour fouiller le frigo de sa cuisine ouverte ; un espace bien modeste, comme s’il ne l’utilisait qu’à peine. « j’imagine que ça n’a rien d’étonnant de penser à l’homme qui t’a poignardé ? ta cicatrisation se passe-t-elle bien, d’ailleurs ? »
cet instant comme figé dans l’étrange absolu ; il l’ignorait autant qu’il prenait soin de lui, savant mélange d’attention pour le corps et de désintérêt pour le cœur. mais voilà ce qu’était réellement alexander - un fou dont les intentions semblaient toujours se détacher du coeur… pour répondre à l’absolu désir de sa propre science.
Enfin le contact enfin cette brûlure sur ta peau, celle qui te fait redescendre sur terre, qui rempli tes poumons d'air son air regard flou sur ses lèvres tu essaies de comprendre sa chanson, ses intentions et intonations.
Et c'est mélodieux, toujours parfait
non voix soufflé, comme submergé, son être réchauffe ton âme d'un feu dangereux, incontrôlable oh et pourtant, on m'a poignardé il y a peu et je n'y ai pas tant repensé que ça .. la cicatrisation va parfaitement bien, j'y prend soin.
Alcool qui rend ton dialecte plus complexe tu as prit l'habitude de murmurer des poèmes à ton patient et te voilà maintenant bien dépourvu prit au piège
ton regard qui se pose sur le lit dans le salon tu ne poses même pas de questions parce que ce n'est pas utile tu as l'esprit trop noyé pour penser
tes esprits qui se lovent dans les bras d'alexander il est partout sur ta peau tu t'approches ((ne recules pas)) ((ne t'éloignes pas)) ((toute ton attention)) ((sur moi))
regarde moi ..
Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Sam 14 Mai - 20:57
hausse un sourcil, manifestement assez curieux pour qu’il ne sache pas défaire son esprit de cette information et pourtant pas assez, tant il prenait son temps à inspecter son réfrigérateur.
piètre contenu qu’il préféra laisser derrière lui, il referme la porte sans rien extraire, bien incapable d’être l’hôte de qui que ce soit. il se contenta d’un regard sur le pain qui occupait son petit plan de travail, puis soupire ; avant d’entendre la requête d’une âme égarée.
son regard se pose sur lui, obéissant tant qu’on ne l’obstrue en rien. si alexander savait obéir à autrui c’était essentiellement car il se réservait toujours le droit de s’obéir à lui-même, au dépend de tout et de tous.
« je te regarde croyance. » ses lèvres trahissent l’excitation grandissante de ce que cette nuit leur préparait. ses mains se portant tendrement contre ses joues, il lève son visage, l’admire sous toutes ses coutures. « et je vois un pauvre homme coupable d’ivresse que n’importe qui pourrait briser cette nuit. » mais il avait choisi son bourreau, comment lui refuser sa rédemption ? « heureusement pour toi, tu es ici. alors. comme ça ; je te manque ? » convaincu que le regret ferait son chemin de son coeur jusqu’à ses mots, que sa peau le trahirai en teintant ses joues de pourpre - il avait en lui ce plaisir malsain de vouloir le mettre face à ses curieux aveux, persuadé que le ridicule pouvait faire naître un jeu étrange. « tu exprimes tes sentiments comme un enfant. »
s'il te manque ((affreusement)) ce penchant pour le morbide, cette obsession qui nécrose le fond de ta gorge t'as envie de le voir détruire le monde, t'as envie de le voir réparer les vivants, t'as envie de le voir dévorer les amants et il s'approche, te regarde, ses mains sur tes joues ((et ça marche, tu t'offres à lui sans retenu))
je n'ai pas la force de te mentir, Alexander, ni l'envie
inclines légèrement la tête pour l'observer, ta main qui se pose sur son torse encore une fois pour surveiller l'état de son palpitant si t'es encore en vie, Alexander, dans ce corps qui pourri
mais je n'ai pas le courage de te l'avouer ouvertement, ni de mettre de grandes phrases sur mes désirs
ton visage qui vient se poser dans le creux de son cou alors que tes yeux se ferment doigts qui se crispent sur son haut dans un froissement du tissu
alors murmuré ainsi, c'est plus simple
murmuré comme un secret caché des regards indiscrets
alexander possède moi
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Dim 15 Mai - 0:15
voilà l’enfant qui mûrit, laisse derrière lui la coquille de sa timidité pour devenir l'arrogance, le courage, l'exigence et tout un tas d’autres choses qui rendent les adultes si possessifs les uns des autres ; alexander s’en réjouit.
il l’écoute et le laisse se morfondre contre lui, jusqu’à ce que son désir prenne enfin la forme parfaites de ses mots - là seulement il lui offrit ce que son étreinte suppliait. une caresse dans ses cheveux, une main dans son dos. en l’enlaçant fermement contre lui il prenait pourtant soin à ne pas l’abîmer, tant il était encore si fragile de sa transformation.
« c’est bien mieux. » chuchote-t-il car il sait qu’aussi proche un simple souffle pourrait attendre ses oreilles.
il abandonna son emprise étouffante, se contentant d’une main sur son poignet pour qu’il ne le suive où bon lui semblera. alors il le guida pour qu’il l’aide à s’asseoir sur le rebord de son lit, les pieds à terre. voilà qu’il avait désormais la posture parfaite pour que le jeu puisse continuer sans aucune règle. « ne bouge pas. » la voix est grave, le regard est baissé. alexander s’agenouilla au sol, s’installant entre les jambes de son invité. il leva le haut du jeune homme pour y inspecter sa plaie, glissant un index et un majeur le long de la cicatrice qu’il avait lui-même signé. « je te possède déjà, croyance. » il y porta ensuite ses lèvres ; froides et humides. sur chaque suture il déposa un baiser, jusqu’à ce qu’il ne trouve un peu de chair saine pour y mettre les dents - c’est maintenant qu’il mordit, assez fort pour le tenir, toutefois assez tendrement pour ne pas perçer la peau. « délicieuses hanches… » on le croirait presque lancé dans un poème ; le regard amoureux posé sur la peau blafarde. finalement il reposa sa joue contre sa cuisse, ses yeux rusés dans les siens, le sourire pour envelopper le tout.
« croyance, mon croyance… le jour où tu auras perdu ton innocence toute entière ; le jour où tu aimeras une âme plus que tu adores observer mes bizarreries… ce jour là je perdrai ma muse, et ma folie avec. peut-être tu l’emporteras avec toi et je deviendrais un homme parmi les hommes ; peut-être tu me la laisseras toute entière et je ne serai plus qu’un monstre parmi les morts. » il ferme ses yeux, apprécie le calme qui précède la tempête. « ma chrysalide c'est toi. »
son étreinte est différente, elle a le goût du danger, elle a le goût du pardon il n'y a qu'alexander qui ne voit pas derrière la créature lui il voit tout lui il ne voit que ça, les blessures, les cicatrices, les déchirures et c'est bien ça qui te rend si faible, si dépendant
ses doigts dans tes cheveux font frémir tout ton être son odeur qui te rend fou ((déjà noyé sous la démence tu n'es que davantage en transe))
il te guide et t'installes sur son lit se met entre tes jambes et ses lèvres viennent rejoindre sa marque et ses dents se plantent pour y encrer ton psyché à jamais d'un soupir arraché il vole une seconde fois ton âme toute entière pour y jouer un bien mauvais tour sa joue sur ta cuisse alors que tu oses poser ton regard dans le sien
c'est là que tu te sens de nouveau sur cette ligne, cette corde tendue dans le vide tu es tombé tant de fois, sans jamais parvenir à remonter, tomber pour les sacrifiés, tomber pour les martyrs tu connais la sensation de l'impact, cette force brutale qui t'arrache ton souffle pire qu'une drogue, croyance pire qu'une mort aimer c'est l'enfer ton enfer et tu ne veux pas aimer un autre diable, tu ne peux pas t'autoriser de perdre pieds
et pourtant, tes doigts se posent sur sa joue, une caresse si tendre ((trop tendre))
alexander mon amour est poison, vice et corruption, mon innocence me maintient hors de ma folie. Es-tu sûr de vouloir me voir la perdre. Mon amour élève les mortels, leur offre le statut de jeunes dieu, éternel dans mon cœur tu vivras à jamais et mon corps sera à tes côtés pour se sacrifier, pour t'offrir un nouveau souffle.
Ta caresse remonte dans ses cheveux, les tire légèrement en arrière pour que tes yeux lunaires se plongent au plus profond de ses méandres loin de tout ça
j'ai trouvé un refuge dans ta violence. J'y ai trouvé la beauté.
Alexander L. Anderson
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Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Dim 15 Mai - 13:32
c’est avec sa présence qu’il se sent le plus sain, le plus libre. loin de la mort qui le guette à chaque goûte de sang qui perlent sur ses mains ; loin des désirs assassins qui finiraient un jour par lui dérober sa liberté. quand il voyait son médecin, alexander se savait un fou dans sa cage, un monstre de foire que l’on admire sans pouvoir le craindre…
moi croyance perdait ses allures de thérapeute, tant il s’efforçait à braver l’interdit. comment lui pardonner… comment l’ignorer… il tire ses cheveux et il n’a d’autre choix que d’ouvrir à nouveau ses yeux pour le contempler, véritable coupable de ses doutes. mais le contact était si tendre, la caresse était si douce…
et si son visage quelque peu fatigué ne semblait pas trahir ses songes, alexander à cet instant ne rêvait que d’un brasier immense.
des cris, des hurlements, des explosions de sang, des cadavres empilés. à bat la délicatesse qui ne sait contenter que les âmes apeurées ; gloire au sacrifice, comme celui qu’il énonçait pour lui.
dans un élan de fureur qu’il ne pourra jamais justifier que comme étant sa nature la plus profonde, il se releva, plaquant croyance avec fermeté contre les draps. ses lèvres ne cherchaient aucun baiser, ses dents en revanche s’acharnaient fermement à marquer tout son cou, comme affamé. il y avait dans toute la soudaineté de ses actes la rage et l’appétit d’un diable, qui, pourtant ; parvenu à contenir sa satiété, et alors, il cessa.
son souffle chaud et lourd contre sa peau, il resta immobile tandis que ses mains serraient sa taille pour le maintenir ici.
« tu dis des bêtises, croyance, rien que des bêtises… tu es perdu dans la solitude et l’abandon, tu crois que je peux t’apporter une attention différente de celles des autres… mais d’amour je n’en ai aucun. pour moi, pour les autres, pour toi. tant qu’il y a de la vie je suis contraint. » dans un contraste surprenant, il déposa sur ses morsures des baisers d’excuses. « si je te touche c’est pour te faire saigner, si je te détruis c’est pour te tuer. tu dois vivre, croyance ; tant que tu vis je peux encore exister… tant que tu m’encadre, je peux faire ce que les autres m'interdisent, je peux rester libre… » alors il retira ses ongles de ses hanches, prit appui sur le matelas, les mains de part et d’autre au niveau de ses tempes. là il put le regarder comme une misère qu’il se satisferait cent fois à réduire en poussières. « continue à faire de moi un dieu. c’est pour ça que je ne te tue pas. et puis, tu es ivre, croyance. »
conditionné à craindre pour ses crimes, il ne pouvait abuser d’un esprit flou, d’un corps qui oublierait ses sévices. de peur pour lui-même tout ce qu’il pouvait faire avec lui, c’était de le supplier ;
pour ne pas saboter cet équilibre dangereux ; pour qu’il ne soit jamais coupable de rien si ce n’est d’exister. alexander n’avait finalement qu’un seul et véritable amour ; sa liberté de fuir.
D'une violence qui te fait trembler ((d'impatience)) il te renverse et vient marquer ton cou de morsures, signatures visibles, plus gourmand cette fois, le regard innocent devra s'exposer à l'effusion de sa nature. Et c'est l'écho de ton souffle ravagé, des draps qui se froissent sous ton emprise, qui te fait réaliser à quel point les battements de ton palpitant sont suspendus à ses mouvements
alexander...
son nom que tu prononces, invitation d'un vampire à pénétrer chez toi, invocation d'un diable dans tes bras, tu signes un nouveau contrat ses mains sur ta taille si fine, lui qui brûle lui qui mit le feu à ton corps si fragile ''tu dois vivre croyance'' sublime monstre qui t'observe, dans son emprise sur ton cœur il te fait frémir dans la droiture de sa folie la justesse de ses envies
perdu dans la solitude depuis des années, je repousse toute affection chaleureuse et accueille le mal, ça, je t'en donne raison. Mais pas une seule fois ne t'ai-je dis des bêtises.
Ta voix qui murmure des secrets inavoués parce que là, dans ce lit, sous l'ombre d'alexander, tu es caché du monde, tu as esquivé l'emprise du temps, l'espace d'un moment, l'espace d'une rêverie
libre...
l'attire contre toi, inverse les positions, à califourchon tu te penches sur lui, tes lèvres qui se posent sur sa tempe, ta main qui vient rejoindre la sienne, la relevant au dessus de sa tête
soit. Ne t'arrête jamais d'exploiter cette liberté que je t'offre, toujours, sois libre pour toi, sois libre pour moi. Moi qui suis maudit par la lune je ne pourrai que te regarder de loin. Alors sois sublime. Marque mon esprit, marque mon corps et ne gâche rien, fais de ton temps une utopie.
Doigts qui viennent s'égarer sur son poignet, légère caresse aérienne
Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Dim 15 Mai - 23:50
complexe peine hésitation faim et rejet ; alexander est en suspend car dans son esprit se mène une lutte entre passion et raison. l’envie devait-elle saboter le rationnel ? et si la justice venait frapper à sa porte ? pourrait-il feindre l’innocence ? est-il capable de faire la sourde oreille, de rejoindre les citoyens en bandant ses yeux et ses plais ? la porte qu’il ferme à clé, pourrait-elle un jour être ouverte par d'autres mains que les siennes ? qui s’oserait à la forcer ? le juste ? le savoir ? quand il tombe son dos contre le lit pour prendre la place du dominé il se sent, étrangement… plus léger.
comme s’il subissait ce qu’il redoutait, comme s’il n’était plus coupable de rien mais victime de tout. était-ce là la réponse à toutes ses questions ? suffisait-il de lever les bras et de répondre qu’il a subi, pour ne pas craindre pour sa liberté ?
ses paroles salvatrices chuchotées à son oreille alors que ses bras obéissent à tous ses désirs, alexander croit pouvoir fermer les yeux ; désobéir à ses propres règles. se croit-il puissant, croyance, à cet instant ? l’alcool donnait-il tant ?
brise son emprise ; la force de croyance sous un croissant de lune ne valait vraiment rien face à la sienne. il avait prit le visage du garçon entre ses mains une fois encore, mais cette fois ci l’admirer n’était plus son plaisir ; il préféra capturer ses lèvres par les siennes, enchainant de trop intenses baiser carnassier : ses dents s’invitaient à ce plaisir pervers et à force de pincer il avait finit par y trouver le sang, coulant généreusement des lèvres de ce pauvre amant. « ça suffit croyance. » mais sa parole ne suivait pas l’acte car chaques embrassades semblaient à la fois marquer la fin et le commencement. sans compter il s’arrêta après un bon nombre, laissant un dernier coup de langue récupérer la goutte de sang qui devait terminer son appétit vorace. ça suffit. enfin.
de force il se redressa, gardant croyance contre ses cuisses. il le serrait contre lui, comme s’il craignait que leur regard ne puisse se croiser. une main dans ses cheveux se voulait tendre, mais à le sentir de la sorte il n’était finalement qu’un grotesque prédateur en rédemption.
« il faut que tu rentres. j’aurai peur de te mordre en dormant. il faut que tu rentres… c’est compliqué croyance, tu me sabotes, tu le sais… » il passe ses lèvres contre son cou, remonte à sa mâchoire pour y glisser ses dents. « si tu veux éviter un bain de sang, descends de sur moi, et allonge toi sous le drap. »
De sa violence il vient faire taire ta voix, de ses lèvres il vient te voler tout le reste d'humanité que tu avais tes doigts se logent dans sa chevelure, tu la tire avec envie, gourmandise qui commence à faire brûler ton ventre, sa nuque, que tu griffes, pour le marquer, toi aussi, de tes brûlures ton sang une nouvelle fois sur le bout de sa langue soupire entre deux baisers ((interdit))
cette faim, vos crocs qui s'entrechoquent, le timbre de sa voix qui résonne au creux de ta poitrine, il y a quelque chose d’affolant affolant comme tu sombres, si vite, dans son étreinte affolant comme tu ne rêves que de lui
alors il se redresse et te maintiens contre lui respiration précipitée et tu prends un instant tes distances ((de ses lèvres)) pour planter ton regard dans le sien ((fiévreux))
alexander j'ai tant envie de toi
d'où vient ces idées, croyance toi qui ne t'offres à personne te voilà à sa merci ((bloqué entre deux battements de cœur))
tes mains qui se glissent dans son dos il faut que tu rentres, croyance, oui ou rester, dans son dos, à observer le monstre qui dort si le regret viendra au réveil ? Sûrement pas, toi qui attends la mort avec impatience, toi qui attends un semblant de renouveau un bain de sang c'est être vivant
je n'ai pas la capacité de regretter ni l'envie de partir.
Alors qu'il embrasse ton cou, l'angle de la mâchoire dans une nouvelle morsure tu fermes légèrement les yeux sous ce rideau de cils blancs que tu te penches un peu plus en avant déposer un baiser sur sa pommette
Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Jeu 19 Mai - 23:41
les mots ne font plus sens, sa satiété lutte contre son ego. il se rassure, il se dit que croyance est tendre, que la poigne qu’il a dans ses cheveux n’est qu’une caresse, que ses baisers seront toujours mielleux et dieu qu’il déteste le miel, alexander.
mais il se ment quelque peu. il voudrait nier, le rétrograder. tuer son appétit, justifier ses débordements. mais il s’entend se contredire lui-même, comprend qu’il faudra plus qu’un peu de volonté pour aligner deux pensées qui ne s’entretuent pas.
ses doigts s’agrippent aux hanches, il le laisse tomber à côté de lui en s’élevant pour s’éloigner, une main sur son front une fois debout.
pas ce soir. pas avec croyance. pas maintenant. pas déjà. le destin se moque-t-il de lui ? un coup d’oeil sur le corps si fragile qui attend ses sévices et il récupère son jeu de clé, déverrouille puis s’enferme dans une autre pièce.
autour de lui fusent les lames et les seringues, les draps gorgés de sang, le prochain tableau de scarabés qu’il prépare. il admire, passe une main sur chaque objet, comme pour s’enchanter lui-même. c’est ici qu’il sévit. ici. ici. ici. ici.
« ici. c’est trop tôt. tout va bien. haha ! je n’ai rien fait de mal. j’ai toujours demandé. il n’y a que les bestioles qui peuvent m’en vouloir. haha ! je suis poli. je suis courtois. je n’ai fait rien de criminel, j’ai encore toute ma tête ! »
sa voix ne porte pas assez pour qu’on l’entende, mais les rapides éclats de rire traversent les murs. il tire ses cheveux en arrière, range le seul scalpel qui n’était pas rangé. ici. ici. ici. il soupire. sort à nouveau, inconscient que cette scène n’eut duré que deux minutes. ses bras viennent à nouveau chercher le corps de son invité nocturne, qu’il enlaça contre lui jusqu’à l’étouffement, allongé sur le lit. « chut. chhh. tais toi. piètre médecin. chh. » il relâche, comme étonné de sa force. ses mains s’accaparent son visage, ses yeux pénètrent dans les siens. « tu veux ma mort, croyance ? et si je te brisais les côtes ? et si je te volais un poumon ? et si je te dévorais ? tu disparaîtrais en moi pour de bon, et moi je disparaîtrais de la vie. tu veux ma mort, croyance ? » son sourire est tendre, parce qu’il ne croit pas à sa fin : pas ce soir. « il est tard. tu me rends fou, et tu es ivre. je ne veux pas devenir fou. c’est moi qui décide quand je le deviendrai. tu n’es personne pour me voler ça. »
Instrument de violence voilà qu'il loupe une note éclate dans sa poitrine une colère nouvelle, neuve teintée de peur c'est amer ((c'est tentant)) alors qu'il va s'enfermer tu te redresses
ton regard brumeux qui se perd sur les draps, les coussins l'obscurité de cette pièce ((et tu vois si bien dans le noir, tes iris qui brillent, comme si la lumière n'avait jamais quitté les lieux)) son odeur est partout, cela te fait perdre un peu plus la raison. Oui, la raison parce que venir ici en pleine nuit c'est dangereux mais c'est ce que tu aimes le plus, non ? Le danger, l'imprévisible, tu n'as plus mal, maintenant quand ta peau se déchire, tu y cherches la beauté ((et il te tient en haleine, il sait parfaitement comment guider la danse))
l'obscure fortune il revient se jette sur toi, te serre dans ses bras ((si fort que tu en fermes les yeux))
alexander...
ta main qui se loge dans le creux de son dos, l'autre dans ses cheveux, l'attire à nouveau vers toi ((tu veux sa mort, croyance ? )) ou la tienne
toi qui aimes tant porter la peau d'un loup..
tes lèvres si proche des siennes et tes crocs qui viennent percer la pulpe, comme il l'a fait avec toi un peu plus tôt un baiser s'échange tout comme le sang ((le sien brûlant sur ta langue)) il semble brûler. Il contient une tempête, il ordonne, il gronde furieux désirable (évidemment)
puis tu roules légèrement sur le côté pour pouvoir le prendre contre toi, pour que son visage soit contre son torse là où ton cœur hurle ((fais-moi tien))
je suis un médecin. Brises moi autant que tu veux, déchire mes organes, casse mes os en deux. Je répare les vivants et tu m'as ordonné de vivre. Je ne te volerai pas ta folie.
Vient caresser ses cheveux ((ton souffle court))
et tu ne voleras pas mon dernier souffle.
Alexander L. Anderson
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Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Lun 23 Mai - 17:15
torture sur torture, vipère à la parole dévorante, plus il entend plus il voudrait s’arracher les oreilles pour ne plus jamais pouvoir rien écouter que ses pensées intimes.
mais les caresses sont si douces, comment les refuser ? quand traînent sur lui des mains tendres alors qu’enfant on osait à peine le toucher… il apprécie, malgré lui et dans toute la profondeur de son inconscient, cette délicatesse un peu austère dont son cœur abîmé avait toujours rêvé, mais que ses vices avaient toujours refusé.
et puis les lèvres se teintent de plus de sang encore, mêlant les leur sans pudeur ; mais alexander ne répond pas, il tremble presque, montre les dents - il est sauvage. vêtu de toute la violence du monde, habité de patience mais de trop de désirs. il laisse ses songes vides apprécier le peu de ce qu’il peut encore comprendre, se menaçant de visions abstraites pour ne pas dérailler.
il ne craint pas d’être trop sanglant. il craint d’adorer ça. et quand il aura aimé faire tout ce qui est un crime sur croyance, comment savoir s’il ne serait pas plus gourmand ? et s’il ne suffisait pas ? alexander est incapable d’amour mais de passion pour les êtres ça, il en était empli ; alors il s’estimait amoureux de bien trop de corps, n’en déplaise.
il trouva à nouveau du confort dans l’étreinte du garçon, toujours muet. sa main dans ses cheveux il y a de la délicatesse, mais son coeur bat fort, il croit l’entendre. ses yeux se ferment, son visage se frotte contre son torse y laissant les traces de son sang, comme pour creuser creuser creuser plus profond et se loger là, entre les poumons, au chaud et bien en sécurité. mais il ne faut qu’y croire parce qu’il sait malgré lui qu’en le réalisant ; il le tuerait.
mais si au fond de lui grondait encore la colère et la frustration, la fatigue (d’être fou) elle, atténuait un peu ses ardeurs, quand croyance apaisait entièrement sa fureur.
« comment peux tu en être sûr ? tu penses que je ne tuerai jamais personne, même malgré mes excès ? oh si tu savais… chaque jour, chaque jour croyance je me tue à coller à cette société de dépravés… mais tu dis que je ne te tuerai pas… oui, je ne suis pas le monstre qu’ils croient. » non il est bien pire mais comment le savoir ? « tant que je ne touche pas je sais que je ne suis pas fou. » mieux vaut l’ignorer que de s’y morfondre.
Au creux de tes bras l'écume peut percuter ton torse sans te faire vaciller parce que tu es tellement amoureux des vagues folles des vagues colériques celles qui sont tant égoïstes, qui veulent juste s'écraser sur le sable et les roches pour tout dévorer laisser des marques et s'en aller se fondre dans la masse tranquille, dans les normes de l'océan. Alors tu chanteras un peu plus ton chagrin pour satisfaire les narcissiques, parce que tu les rends si beaux quand ton sang fait rougir leurs joues tu les sublimes, entre tes doigts ils se défoulent, ils éclatent et jamais tu ne recules tu aimes la violence de l'âme le magnifique du vice
et alexander ton alexander il était tout ça à la fois. Il était la sincérité brute, crue, douloureuse jamais ne se tord, jamais ne s'incline et c'est ce qui te rends tellement fascinant, charmant, aimant
sa ressemblance te fait perdre la raison, sa ressemblance avec le bout restant de ton âme c'est un écho distordu c'est un écho qu'on ne veut pas entendre celui qui s'approche un peu trop près chaque fois que la déviance prend le dessus vous les monstres vous faîtes peur et vous luttez pour plaire pour satisfaire les attentes, les regards, les sourires.
Mais en réalité vous savez bien qu'un jour vous serez recouvert de sang. Et vous serez si beaux. Les monstres, vous êtes charmants dans vos habits de héros. Toi tu sauves les corps et lui il ramasse les morts ((oh vous les diables, vous avez la vie et la mort entre vos mains))
les fous c'est ceux qui rêvent, ceux qui mentent, ceux qui prétendent. Les fous c'est ceux qui attendent de nous la rédemption.
Et tu le serres un peu plus contre toi ne me le volez pas mon soleil qui meurt, qui explose dans mes bras il peut briller et tout brûler dans mes bras il peut se déchaîner ne me le volez pas pas encore
tu es l'enfer, alexander. C'est vers toi que les damnés toquent à ta porte. Tu ne tueras personne, ils sont déjà morts.
Alors que tu déposes tes lèvres sur son front, y déposant une marque pourpre, tes doigts continuent de s'enrouler autour de ses mèches de cheveux, avec tant de douceur d'amour de passion
veux-tu que je restes cette nuit, te garder contre moi ou désires-tu que je te laisse.
Alexander L. Anderson
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Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Mar 24 Mai - 12:38
sont endormis ses rêves d’assassins ; voilà enfin que la nuit, le sommeil, et la tendresse l’enveloppaient ; cocoon anesthésiant. dans les bras propres du médecin qui soigne, son corps putride trouve un brin de repos. mais il ignore, alexander. il ignore à quel point les ténèbres le consument, combien d’années le temps, clément, lui laisse avant l'extinction.
mais il n’est pas fou. (si, il l’est). il écoute, s'enivre de ses paroles comme d’un alcool clair. ce soir il pourra dormir sur ses tords, ignorer sa conscience ; couvé de la sorte on ne peut pas être un criminel, voilà ce qu’il pense.
alors la douceur ne serait-elle pas un mal ? c’est drôle, il n’avait trouvé ce réconfort qu’à travers la vue du sang, auparavant. « alors on ne m’accusera jamais de rien… » croyance avait maintenant la parole d’un avocat, d’un juge, de la justice. s’il lui imposait la liberté, alexander s’y soumettrais.
« reste avec moi. » tant qu’alexander ne l’étouffe pas, son corps vivant est un cadeau dont il commence à apprécier le souffle. cette thérapie est douce mais il le sait malgré lui ; elle ne durera pas éternellement… alors ses bras se resserrent un peu plus contre lui, comme de peur que le rêve ne s’échappe de son emprise.
« je vais mal, je vais si mal. mais j’arrive à croire le contraire, tu sais, la plupart du temps. toujours, même. il n’y a que maintenant, que je me rends compte… mais après avoir dormi j’aurai oublié. c’est sûr. j’irai mieux. j’irai bien. je ne suis pas fou. » il inspire, soupire, se détend. « je suis l’enfer. » alors il ne tue pas ; il délivre. il ne violente pas, il accompagne. il ne sera jamais criminel, simplement délivrance. « maudit ou non, rien n’aurait été différent. mais si tu ne meurs pas de mes mains croyance, tu finiras empoisonné par mes vices malgré tout. la vie n'existe que grâce à la mort, tu le sais... tu soignes pour qu'ils meurent bien, après tout. ceux que tu répares, c'est pour que je puisse les détruire proprement ? c'est comme ça, je crois. c'est comme ça. »
Tu tisses son souffle du bout de tes doigts et peint ses murs de tes mots, tu en fais un immense tableau parce qu'il est tombé dans ton cœur et qu'il s'y égare, dans tes méandres il prend place, s'installe, conquérant, vainqueur, amant et tu mettras dans ses cheveux des acanthes et du lilas pour sublimer son sourire quand il plantera ses dents dans ta chaire parce qu'il doit être beau, le corbeau, il doit être beau alors qu'il s'arrache les plumes
reste avec moi qu'il demande et c'est ce que tu feras, toute la vie s'il le faut, s'il veut bien de toi
ce soir, juste ce soir, laisse ton mal s'endormir contre moi. Et à ton réveil, je l'aurai digéré.
Au creux de ton estomac, là où le parasites grouillent, les vers de l'amour, lombrics du regret, ils bouffent tout, ils se nourrissent de ton foie et font des trous dans ton pancréas. Et il y a ce liquide qui nécrose les tissus tes boyaux qui se tordent font des nœuds
je m'abandonne à tes vices, Alexander, tout comme tu dévores les miens.
Ta main dans son dos qui caresse sa peau, un touché qui brûle ça brûle de par ta tendresse qui monte monte monte dans ta gorge, derrière ta langue, contre ton palais ((ça va te casser les dents un jour et tu vomiras un nouvel amour))
souviens toi, je sais que je finirais entre de sublimes mains. Tu m'as ôté la peur de ma mort alors laisse moi t'ôter la peur de la vie.
Ton visage qui se loge dans sa chevelure, les yeux clos, murmures entre ses mèches, entre ses pensées oh Alexander comme mon cœur bat fort oh Alexander comme je te trouve beau oh Alexander
comme je me meurs. Dans tes bras là secrètement avec douceur et attention ((cela me va))
s'il est si doué pour manipuler les corps tu es doué pour manipuler les palpitants brûlants doué pour maintenir en vie tenir éloigner l'infection calmer la putréfaction
tu tends un instant ton bras pour tirer les draps sur vos corps et bien vite revient le serrer tout contre toi hors de question de le lâcher maintenant non tu as trop besoin de sa chaleur sur ta peau de ses mots dans ton cou
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Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Mar 31 Mai - 0:21
tout ces maux toutes ces paroles que la tendresse de croyance lui arrache, tout cela il aimerait dormir dessus pour que jamais demain il ne s’en souvienne. car s’il se rendait compte, à cet instant, de toute sa douceur,
alexander en vomirait jusqu’à y laisser ses tripes.
« tu dis des bêtises plus grosses que toi… » ses bras serrent son emprise, il savoure cette étreinte, se rassure d’oser être victime alors que la vie le qualifiait sans cesse de coupable.
et quand il se dit, qu’abuser de cet instant pour le rendre charnel et violent, serait une récompense méritée pour toute sa retenue - il se rend compte, qu’aucun calme ne saurait faire taire la tempête.
alors qu’aucun corps ne saurait l’étouffer, qu’aucune caresse ne pourrait l’apaiser, qu’aucun mot ne réussirait à le raisonner. il y a déjà dans sa vie et en lui-même tant de terreurs que même le plus précieux des miracles ne suffirait à éteindre,
sauf si ce miracle portait le nom de mort.
ses yeux sont fermées et il laisse sa chance au sommeil, convaincu comme un fuyard que dormir effacerait cet instant presque trop précieux où la violence avait trouvé du repos dans cette câlinerie insoupçonnée, alors il s’endort
laisse derrière lui dans le noir profond de ses songes, l’image des morts qui l’appellent. il dort, apaisé cette fois pour de vrai. si profondément qu’il ne bougea pas, que ses mains ne quittèrent pas ce corps pâle qu’il garde comme précieux. croyance son ange n’a pas d’ailes et c’est tant mieux pour lui - il aurait trop été tenté de les arracher.
c’est le soleil qui le sortit de cette nuit calme, et pour mieux la comprendre il observe, se détache doucement pour prendre du recule et admirer, ce carnage qu’il n’a pas fait
c’est à ça, que ressemble la paix ?
ses mains contre ses yeux il frotte, chasse ses pensées déjà troubles. mais il est loin d’être éveillé, loin de succomber comme à chaque jour aux tréfonds les plus vicieux de sa conscience. il se recouche, reprenant contre lui cet homme sans bavure avec juste un peu de sang pour marquer une violence très légère.
« si fragile… » mais il ne sait pas s’il parle de cet instant ou bien de cette accalmie. mais il a conscience du simple fait que jamais
il ne pourrait vivre éternellement dans cette espère de douceur cotonneuse qui borde les maux. elle est trop sucrée, trop candide. elle respire la vie, l’amour, le désir. tout ce dont le dégoût se nourrit pour faire de lui
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Mar 31 Mai - 2:39
Tu te perds sur sa respiration, tu te perds sur son étreinte, tu te perds une perdition doucereuse là, sur les rives de l'inconscient alors que, menaçants dans le ciel, les rêves arrivent, tu tombes à genoux dans tes bras tu le maintiens fermement contre toi lui qui fait pousser la colère de ce monde entre ses poumons et toi qui fait rougit les vélanes de par ton amour immortel immortel et immoral genoux dans le sable les galets murmurent il arrive le mauvais temps il arrive le temps des larmes et des chagrins il arrive
''si fragile'' faible corps qui sommeil, tout de chaleur vêtu. Comme si tu n'avais pas bougé, seul ton torse qui se soulève si doucement prouve que tu es toujours en vie. Tu n'as pas rêvé, tout du moins, il faisait trop sombre pour que tu puisses y voir quoi que ce soit. Tu ne parvenais même pas à voir tes mains devant ton visage alors que tu essayais de repousser les bourrasques. Et sa voix si loin qui se brise en mille échos. Comme criée dans un coussin distant et étouffé
Alexander ..
puis il se mouve et alors qu'il te reprend dans ses bras tu te blottis un peu plus, tes mains qui se glissent dans son dos
empêche le soleil de se lever … s'il te plaît ..
oui maintiens la nuit au dessus de ta tête, garde la lune dans le creux de tes bras il est si bien ici, loin de tout et en même temps au cœur même du mal et vous qui dormiez sur l'adret, vos corps sont noyés dans le chaud, dans le trop je t'en conjure, tue les astres, Alexander, je ne veux plus qu'ils me regardent, je veux un ciel sans lumière là je m'y sentirai bien
((mais le souvenir revient)) ces mots qui résonnent le bruit de ses pensées qui se brisent lourdement contre les murs et ce bourgeon ((non, du lierre, c'est du lierre qui pousse dans ta poitrine et qui s'enroule autour de tes poumons pour t'empêcher de respirer))
Alexander L. Anderson
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(end) — aux frontières de mes sentiments . alexander Mar 31 Mai - 11:25
les secondes défilent précieusement et il les compte, assidûment, car la journée ne leur appartient pas. le soleil non plus. l’un dans les bras de l’autres il en apprécie les derniers instants car il sait, qu’une fois lever pour de bon il faudra faire disparaître de leur tête ce drôle d’instant qui ferait honte aux cadavres. vivre comme un vivant, alexander ? seule la nuit pourrait lui en être témoin, ce n’est que là que les paupières sont lourdes et qu’on accuse tous les maux du monde pour les mots et les actes insensés qu’on ne se reconnaît pas à aimer.
« comme si le soleil allait m’obéir. »
alors que personne sur terre ne lui obéissait vraiment. il inspire, s’étire, soupire, s'enivre une dernière fois de son odeur avant de lâcher prise, pour ce matin comme pour de bon. peut-être devrait-il se réveiller avec l’amertume d’un bon café, mais il ne peut pas encore se lever.
« rentre chez toi croyance. j’ai du travail à faire. »
il ne sait pas encore où, ni qui, mais il sait que quelque part, que ce soit chez lui ou dans son étrange cabinet, il y a au moins un mort qui l’attend.
« je ne veux pas entendre parler de cette nuit. »
elle aurait de quoi faire pâlir un alexander bien éveillé. il ouvre enfin ses yeux, portant son regard transperçant vers celui toujours plus doux de croyance.
« disons juste que c’était un essai dans ma thérapie. si tu mets le moindre mot dessus aujourd’hui je te ferai disparaître. »
et pour cela pas besoin de se salir les mains, l’ignorance résultait toujours de la meilleure torture dans ce domaine. il inspire à nouveau, s’étire pour de bon. se glisse un peu dans le lit pour venir déposer son front contre celui du garçon.
« j’ai encore beaucoup à réfléchir. »
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