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Le monde magique a bien changé dans les années 2000. Il s'est inspiré de la technologie moldue pour évoluer. Ainsi, presque chaque sorcier possède un téléphone portable et un accès au magicnet. Cependant, il est toujours soumis au code du secret et certains conservateurs craignent cette ouverture... surtout dans un monde qui vit encore caché. Les guerres politiques et sociales persistent... (Suite)

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je sais le soir ✧ beau
Bellamy Bates
Ceux qui tranchent nous divisent.
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Bellamy Bates
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je sais le soir ✧ beau Mar 5 Oct - 2:39
ici les joies étaient si violentes que les gens semblaient se battre.

en fait ne faisaient que valser combles d’ivresse, envenimés d’éthers qui les rendaient à la fois jolis à la fois répugnants, sublimés par une laideur sans nom : à ses premières heures, la décadence persistait très anonyme. dans l’établissement enfumé d’éthylène et de souffles nocifs, lui respirait à plein poumon, comme ravi de se noyer parmi ce monde et ses charmes. bellamy trouvait leur vulgarité inébriante, s’en abreuvait éhontément.
c’est qu’elle tournait bien mal dedans son sang, il sentait.
tout comme il sentait qu’elle ne le lui polluerait pas pour de bon.

il n’avait après tout aucun lien véritable avec qui que ce soit d’ici-bas. ramené par une passion qui lui passerait bientôt il s’était montré tenant un bras mais ses mains étaient vides de tout si ce n’est d’un verre à présent, et les visages se penchant dessus le sien lui se voyait boire leurs paroles, les embrasser peut-être mais tout comme il se savait capable de s’en amnésier à volonté. l’entourage de ce soir était une rumeur entêtante, un bruit de fond, fort, assourdissant et l’on finit toujours par se débarrasser des acouphènes.

quand même il les laissait briller à ses yeux et vriller à ses tympans, l’imprimer un peu puisque sa peau marquait trop vite - au fil des longueurs d’un bout à l’autre du bar, noir de baigneurs l’on s’était cogné contre leur corps, abîmé comme on fait sur les correaux - et il les estimait beaux mais il y en avait un singulier qui revenait souvent à leurs lèvres, façon des vagues lorsqu’elles refusent d’engloutir un macchabée, le ramènent sans cesse aux plages tant il était : beau.
les océans finiront par lui souffler viens,
il faut qu’on vous présente.


se sont emparé de sa main pour l’entraîner à l’abysse - la tienne - aux extrêmes de la pièce les tables et leurs chaises cédait la place à des assises plus confortables. une dernière muraille de silhouettes franchie l’ami de bellamy s’est alors arrêté, car au creux d’une alcôve où trois canapés formaient une assemblée presqu’intimiste : tu étais là.
beau.
baptisé par la bouche qui l’avait mené à toi et ton attention subtilisée, la compagnie de bellamy s’est saisi de ses épaules afin de te l’offrir visiblement. les préfaces à son goût sonnaient trop solennelles - ont manqué de lui faire grincer des dents - celles-ci passées il s’est frayé un chemin pour s’octroyer la place, vacante à ta droite. sourit une dernière fois au camarade qui proposait de ramener des alcools - encore - si ça ne posait pas problème - et bellamy lui fit signe de faire, effronté doucereux. t’en fais pas je suis ni un grand timide ni un enfant de trois ans - tu peux m’oublier là deux minutes je vais pas me mettre à pleurer je t’assure. le regarde s’éclipser et puis, reporte toutes ses œillades sur toi. du coup toi c’est beau, c’est ça ? comme si l’information avait fuité de son esprit alors qu’elle s’y était immiscée avant même que tu lui sois tangible. moi c’est bellamy. on m’a beaucoup parlé de toi, je crois, et dans son verre, ses expirations, rieuses elles ont froissé l’ondée des liqueurs qu’il s’apprêtait à reprendre - tandis qu’il te disait - je faisais semblant d’écouter je t’avoue - mais enchanté ! pour de vrai. il était heureux de s’être défait des acolytes absents désormais.
[ beau — londres — oct 2031 ]
cactus


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je sais le soir ✧ beau Mar 5 Oct - 17:42
Il s’était écarté de cette foule qui avait failli le dévorer. Il avait dû lutter contre ces bras qui étreignent et s’approprient, avait repoussé sans concession car une fois plongés dans cette lutte immense, ce n’est plus être un homme, c’est être un organe de ce monstre et faire en sorte de subvenir à ses besoins de soi-même dans l’écosystème. Et son besoin soudain était d’aller vomir dans les toilettes enfoncées plus loin, au bout d’un escalier en colimaçon taillé dans la pierre. Une fois qu’il avait tout dégurgité, sorti de son enfer nauséeux, il se nettoyait le visage avec beaucoup d’eau, s’essuyait avec une serviette laissée là qui avait sûrement connu d’autres visages, d’autres choses crades (dont il ne soucie guère, le plus important était de bien paraître). Puis une fois remonté, il reprenait à boire car il se sentait vide, et allait s'asseoir dans un espace vide, isolé. Mais jamais rien ne restait vide bien vide là où il y avait Beau.

Les absences sont volées par deux personnes qui le rejoignent, sur les autres canapés, lui laissant le loisir d’étaler son bras sur l’accoudoir, un pied chaussé sur la petite table d’appoint devant eux, le tissu de sa chemise brille de ses motifs psychédéliques et colorés, contrastent avec son visage à moitié dévoré par sa frange sombre. Il est témoin et acteur de la discussion qui s’est naturellement créée à trois, rit sincèrement quand il le faut, penche la tête de fatigue par moment, mais toujours ses regards sont rivés ; Beau est né pour être cet animal social tout le temps contentant. Il boit à moitié son verre presque d’une traite, absorbé, puis le petit groupe d’à peine trois personnes, est interrompu par l’arrivée de deux personnes. Naturellement la conversation s’arrête, accueillants à souhait, chacun sourit ; Beau jauge du regard sans méchanceté. Il observe l’ami pour comprendre puis le blond qui l’accompagne, montré comme un animal tout fraîchement adopté. Sans bouger de sa position nonchalante, il dégage quelque peu son visage pour avoir l’impression de mieux le voir, ce petit chien dont les cérémonies ne vont pas à son avantage. Beau ressemble à un prince mais il ne fait pas peur, pas quand on ne lui a pas encore parlé, pas quand on lui parle non plus - mais après - quand on y repense. Ses yeux qui épient et son indolence. Sans méfiance, il le salue d’une main alors, l’air de dire : c’est bien, je suis heureux de savoir son nom. C’est bien, c’est tout-à-fait suffisant si rien ne se joue de plus mais alors d’un mouvement -
L’autre le rejoint. Cela lui arrache finalement un vrai sourire franc, amusé. Il ouvre ses lèvres et congédie : incroyable ! Il fait cela devant les propres amis de celui qui l’a amené jusqu’ici et pour cela - il change de position, ses appuis aussi : c’est son autre bras qui s’appuie sur le canapé, sur tout son long, juste derrière Bellamy, dans une position amicale et prenante. Maintenant, en effet, en un instant, Bellamy n’a plus besoin de l’autre ; son équilibre se repose sur Beau. Il le couve de sa présence, presque physiquement, en l’entourant presque. Et ainsi il isole aussi la conversation, les réduit à eux-deux, les œillades complètement dirigées vers lui, dans une intensité troublante mais chaude. Ok Bellamy. J’ai même pas besoin de me présenter. Il rit à gorge déployée de ses remarques, tout-à-fait attiré par la présence de Bellamy ; Moi aussi j’en aurais marre si on me parlait de moi. T’as pas besoin de savoir grand chose des autres, t’inquiète. Et d’un coup d'œil entendu, il désigne son propre verre. Si tu as soif avant qu’il revienne, hésite pas à te servir dans le mien. Il se réinstalle dans le canapé, se rassied bien droit, mais ne bouge pas son bras. Il a le visage complètement tourné vers son nouvel ami. Toi t’es pas d’ici. Ça s'entend à ton accent. Paris ? Beauxbâtons alors ? Tout fraîchement diplômé ? Allez, fais moi rêver ; ça fait longtemps que j’ai pas entendu parler des beaux jours. Lui est toujours jeune mais c’est trop tard : il est fou et grisé, oisif et pourri. Il le reconnaît, surtout quand il sourit tout le long, éhontément curieux.
Bellamy Bates
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je sais le soir ✧ beau Mar 5 Oct - 17:45
beau tomba sur bellamy tout comme la nuit, c’est-à-dire avec beaucoup de naturel et sans que cela ne saute aux yeux tout de suite. les nocturnes alentours ne s’en rendront compte que d’ici quelques temps, lorsqu’ils voudront s’immiscer dans leur soir et qu’ils le constateront très hermétique : en témoignaient les postures qui ne toisaient plus personne si ce n’était l’autre à coté de soi.

toi l’encerclant d’un bras dès lors où lui s’était osé là, toutefois bellamy ne se ressentait pas cerné, du tout. rien qu’encadré et c’était le traitement qu’on réservait aux portraits admirables - ainsi ça ne le dérangeait pas que tu le regardes aussi franc voire droit dans l’âme. la sienne se sentait parfaitement à sa place, surtout maintenant qu’il la voyait te faire rire, à peine un de ses éclats de franchise révélé à ton grand jour. c’était rare de croiser quelqu’un qui ne les lui considérait pas coupants. alors il t’en dévoilera d’autres, avec plaisir - il en avait plein le ventre, la gorge, la bouche et peut-être pour cela qu’elle brillait sourdement rouge sous l’éclairage tamisé. je sais que t’écris. quand les gens parlent de toi ils disent pas j’ai vu beau ils font que dire je l’ai lu je l’ai lu - j’ai trouvé ça marrant. et tu lui intimes de faire comme si ce qui était à toi était à lui, à vous, et comme si cela coulait de source il a simplement acquiescé - c’est tout juste s’il s’est interrompu pour hocher la tête une fois - aussi ton prénom. tu sais ce que ça signifie en français ? j’imagine - en fait ça revient un peu à t’appeler pretty, ou good-looking mais ça craint good-looking. mieux valait beau.

contre le dossier sa stature s’est alanguie tranquille, abandonnée vaguement quitte à ce que le blé des cheveux s’éploit derrière soi, un brin envahissant. mondain sous tes yeux et soudain, tu t’es mis à le songer merveille d’importation - un petit morceau de château, illusoire comme ceux d’Espagne - son verre a penché dangereusement lorsqu’il a ricané gentil. les diplômés à l’étranger ça te fait rêver ? il s’assagit très vite, revient aux risettes sans effort - il n’est pas de ceux qui se donnent en spectacle, ne s’éparpille que s’il veut - son visage s’incline et il avoue. beauxbâtons mais je suis parti sans le papier. celui à conserver dans un cadre et puis, à exhiber fièrement sur un mur. c’est qu’il était trop impatient. je voulais pas attendre d’avoir fini les études, j’avais qu’une envie c’était de venir ici, l’Angleterre, Londres, n’importe où plus près de Lui, c’est ici que les choses se passent. une seconde son sourire s’empire radieux. enfin il parait. se dilue plus liquoreux après une gorgée d’éthanol. il s’est ensuite redressé légèrement. qu’est-ce que tu bois, beau ? lancé curieux tandis qu’il se serre, sans hésiter comme promis - et qu’est-ce que t’écris tiens ? je crois que c’est là que j’ai décroché mais c’est bien, comme ça c’est toi qui me racontes. il a entendu dire que tu maniais les mots de belle manière - ne s’en méfie pas au contraire - il aime qu’on lui fasse des histoires.
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je sais le soir ✧ beau Mar 5 Oct - 18:06
Ma réputation précède mon nom... Les syllabes faussement tragiques, c'est exactement ce qu'il attend de lui-même. Quand ils lisent, ils commencent d'abord par les lignes rédigées puis concluent finalement sur le rédacteur et le journaliste affiliés - c'est à ce moment-là qu'ils se disent : "Mais c'est Beau Smith !" Et quand il lui parle de ce nom, il fait mine de ne jamais avoir entendu ce qu'il lui dit, Beau - pretty boy des fêtes sales, Beau, trop pretty pour goûter la poussière. Pourtant il s'y fond, la dévore, se délecte de la crasse comme un animal.

Il lui sourit encore. L'écoute parler, sage. Beau comme une image. C'est un tableau d'idoles et personne ne saura savoir si Bellamy adule Beau ou si Beau adule Bellamy. Ils sont tous deux penchés l'un vers l'autre, dédié, quelques minutes, à eux et eux seuls.  
Il acquiesce quand il le faut : oui ça me fait rêver - ah bon tu n'es pas allé jusqu'au diplôme, C'est pas les diplômes qui importent. dit-il avec une double licence en poche, pourtant il le pense sincèrement ! Comment lui en vouloir ? Son pied se balance, en-dehors du canapé. Et puis ça continue : ah oui tu aimes l'Angleterre, Qu'est-ce qui t'intéresses ici, dis ? Y a plein de trucs à vivre aussi à Paris ! Qu'est-ce qu'il y a de mieux à Londres où la jeunesse trépasse de la même manière que dans toutes les autres villes du monde ?
Il le questionne sur son verre et Beau, dans une confidence, regarde autour d'eux comme pour s'assurer que personne les entend, visage près du sien, verre mis en évidence pour que Bellamy s'en saisisse, Je vais te dire Bellamy, que, Le ton est secret. j'en ai aucune foutue idée. Il le regarde enfin avec un immense sourire qui dévore son visage. Par contre, ce que je sais, et que tu vas bientôt savoir, Il articule bien. Il sait comment faire. c'est que je suis journaliste. L'oeillade l'interroge dans l'obscurité, au-dessous de la frange, l'oeil brille des lumières rougeoyantes de l'alcôve. Ca t'intéresse comme milieu ? Souvent les gens se gorgent d'une soudaine timidité quand il annonce son métier : avoir un journaliste qui l'écoute sur son temps libre, cela induit une forme de qualité, d'intérêt non-négligeable - les journalistes ne font que ça à longueur de journée, écouter des gens. Il ne s'écarte ni de Bellamy, ni de leur discussion : son attention reste constante, son intérêt aussi ; les jeunes âmes ont toujours beaucoup à dire.
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je sais le soir ✧ beau Mar 5 Oct - 22:42
mais le personnage tout droit tiré de la dramaturgie, malgré que lui n’en soit pas un du moins pas sciemment, c’était tout ce qui manquait au joli monde de bellamy. avant ses envolées à l’étranger il était terne son auparavant - dans les tons blancs surtout - une touche de rouge parfois mais sans une seule teinte criarde pour y trancher, jouer les contrastes avec l’aspect vaporeux de ses souvenirs d'enfance. souvent des nébuleuses, stériles chloroformées.

ainsi le sombre de tes yeux et le sirupeux de tes mots le tachaient comme il faut. c’était lui tendre des morceaux de fusain que de lui offrir ton attention, un fragment de charbon qui accrochait bien sur ses toiles, immaculées trop longtemps.

l’insalubre des tableaux de ce soir - les follement festifs -
il portait ton nom dorénavant : à l’inverse de sa misère
d’après lui ne pouvait qu'être beau.

parce que ça l'était - pas vrai ? beau de pouvoir s'entendre parmi les hourvaris à l'entour, ces vagues d'environ déchaînées et pourtant l'on arrivait à s'écouter. à t'écouter lui dire qu'il n'avait pas mal fait à s'évincer des sentiers tout tracés pour les accidentés menant jusqu'ici, jusqu'à toi - les études pourquoi faire ? on s'étudiait là tout de suite en quelque sorte, mille fois mieux que sur les bancs d'école il lui semblait. et tu lui parles comme s'il renfermait des savoirs ahurissants et comme si c'était effectivement le cas, bellamy t'apprend alors, il s'en passe des choses à Paris c'est sûr mais c'est chez vous qu'ils sont, les phénomènes ! sans les nommer tout de suite, l'air de les évoquer pluriel malgré qu'il n'en considère qu'un seul et unique.

c'est qu'à l'heure actuelle l'on pouvait un peu t'y compter - toi et tes confessions, frivoles quant aux alcools et la mise en scène à des volumes quasi-mystiques lui font expirer des rires, solubles dans l'atmosphère. ça fait rien je tenterai de deviner. qu'il rétorque doucement à ton absence de réponse - porte ton verre à ses lèvres tandis qu'il te reste fidèle audience.
à la chute de tes aveux, se musèle impressionné.

c'était facile de susciter son admiration.
quand même la sienne ne valait pas rien pour autant, et tu avais le sens du spectacle - la méritait donc amplement - ta profession livrée suivie d'un court silence, et puis tu le questionnes lui et ses intérêts mais pour lui sonne comme une remise en question. que tu le penses trop désinvolte ou trop inéduqué pour comprendre le dérangerait beaucoup - car à contrario, ta dernière réplique était un silex, aiguisant idéal sa curiosité et parfait pour les départs de feu. journaliste ? oui - si, bien sûr que ça m'intéresse. journaliste dans quel domaine ? l'actualité, la politique, les faits-divers ? si ce n'est tout à la fois - ce serait idyllique - et distrait des devinettes, il reprend une gorgée sans plus songer à ce qu'on buvait ; ne lui importait que tes récits rapportés. il avait de l'éther dans les veines. il t'aurait admis la suite même très sobre. ça t'est arrivé d'écrire sur le Corbeau ? ça par exemple c'est un phénomène de chez vous. et dans ses regards, une lueur presqu'envieuse. à tous les coups t'as dû assister à un tas d'événements en direct live... la convoitise osée visible, soupirée, la chance.
[ beau — londres — oct 2031 ]
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