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Le monde magique a bien changé dans les années 2000. Il s'est inspiré de la technologie moldue pour évoluer. Ainsi, presque chaque sorcier possède un téléphone portable et un accès au magicnet. Cependant, il est toujours soumis au code du secret et certains conservateurs craignent cette ouverture... surtout dans un monde qui vit encore caché. Les guerres politiques et sociales persistent... (Suite)

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wrong memory + hephaistos
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wrong memory + hephaistos Lun 4 Avr - 14:51
Aster n’est pas grand-chose et il n’a jamais véritablement été quelqu’un. N’en déplaise à son égocentrisme, malgré la connaissance de son pseudonyme sur la toile. En dehors de ses écrans, Aster n’est rien, ni personne. Un amas de négativité dénué du moindre but, ne serait-ce que d’exprimer un chaos aussi inexistant que sa piètre personne (et personnalité). Parce qu’il avait opté pour le choix de la facilité en restant dans l’anonymat, un choix qu’il tend à expliquer par un jugement emplit d’intelligence. Il se convainc avec une facilité déconcertante, mais sa vie reste plate. Sans fond, dont l’unique goût est l’amertume d’être et de vivre (de s’y croire forcé) dans un monde qui ne lui correspond aucunement.

Alors, il se limite à ses faibles pouvoirs, s’imagine simplement que ses actes puériles ne sont que la naissance d’un nouveau mouvement. Qu’il arrivera un jour ou l’autre à changer le monde, à accepter. Lui qui prône le retour en arrière, le besoin d’être libéré de ces règles qui se veulent être dans la bienséance.

C’est pour cela que malgré le dégoût que cela lui procure, son temps passé auprès des sorciers est comptés à la second près. Qu’il cherche la mal là où il est inexistant. Cherche à causer torrents et ravages, simplement convaincu par ses idéaux et sa façon de faire : en bougeant ainsi, le monde finirait pas exploser, par se fissurer. Qu’il en aurait été le chevalier, l’annonciateur, l’unique être de ce monde meurtri qui aurait fini par faire avancer les choses.

Tel était l’idée.
Le mode de pensée.

Parce que si Aster était bon sur un point, c’était dans la capacité à se voiler la face de lui même.

Apprêté sous tout rapport, magnifiquement coiffé et le sourire charmeur aux lèvres. Dans sa main ornée de diverses bagues luxueuses, un verre de bière qui n’attend pas grand-chose pour exploser. Et tandis qu’il marche au travers des tables, Aster transpire la confiance de chacun de ses pores. Observe avec une grande attention, les groupes et les clients solitaires. Semble intéressé, à la recherche d’un compagnon de beuverie ; du moins c’est ainsi que les choses se présenteraient.

Mais lorsqu’il aperçoit se visage, Aster n’a pas besoin de réfléchir plus longtemps. L’essence même qui se dégage de cet être ne lui fait qu’éprouve un désir de vengeance inexpliquée -l’envie d’apporter un certain mal.

A toute hâte, qu’il s’en rapproche pour finalement feindre le trébuchement. Le verre qui tombe sur sa victime à plein pot, trempé et empestant la bière de bien maigre qualité.

« Oh pardon  ~ »

Qu’il semblerait presque chantonner.



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wrong memory + hephaistos Lun 4 Avr - 17:30


Il n’était pas familier avec la colère.

L’amour, les rires, la chaleur, l’empathie et la sympathie lui étaient des sentiments plus concrets – connus; gérés.

Les cernes creusent son visage, la pâleur habille ses traits. Hephaistos brillant, Hephaistos soleil disparait pour se muer dans l’ombre qui lui est destinée, Hephaistos devient un peu plus Luke chaque jour et choisit d’oublier d’exister.
Choisit l’indifférence à l’existence.

Et perdu derrière ses barricades, perdu derrière son sourire et ses façades, il oublie le temps et les gens. Il oublie de penser, se vide les idées à défaut de pouvoir vider son coeur. Hephaistos fiancé. Hephaistos enfant idéal. Hephaistos parfait. Hephaistos pietiné.
Hephaistos destiné à être oublié.

Ne disait-on pas que la roue tourne; un jour, il fut bourreau, le lendemain; il était victime. Car n’était-ce pas ce qu’il était – celle d’un nom qu’il ne pouvait pas changer. Hephaistos si malheureux et pourtant, il continue d’être présent, d’aider.

Autrui, toujours autrui; les autres, jamais lui. Devoir, dédication et amour; c’est les seuls choses qu’il était.

Vraiment ?

Il sursaute quand le serveur s’adresse à lui. “Pardon ?” redemande-t-il, les mains fixées sur son thé encore tiède; le regard surpris. Il était si rarement absent; si rarement autant fatigué, monsieur Greengrass, comment est votre thé, on me fait savoir qu’il y aura du retard. Privé de sommeil; oiseau dans une prison dorée – Hephaistos ne se sentait pas déborder: il était vide; vide à vouloir en crever; de ces conversations, de cette image qu’il se tuait à garder.

Il aurait répondu qu’il attendrait encore un peu; si un liquide glacial ne l’avait pas interrompu.
S’il n’avait pas senti tout son corps se braquer.
S’il n’avait pas renversé à moitié sa tasse de thé sous la surprise.

Où était sa patience légendaire – oú était son sourire qui lui dirait, à ce responsable: ce n’est pas grave, ne vous en faites pas, ça va aller. Comme ça allait toujours. Non, ça n’allait pas – non, ça n’irait pas – pas cette fois.  Pas aujourd’hui, pas maintenant; pas alors qu’il sent l’odeur de la bière pestilentielle s’emparer de ses vêtements; que le froid gêle son dos de cette substance mouillées, glacée.

Il sent sa chemise coller à sa peau, mais tout ça, tout ça encore, ce serait passé.

C’est l’air chantonnant, presque narcissique – sarcastique, ou moqueur – qui le pousse à se retourner; qui fait gronder en lui cette boule dévastatrice qu’il a cherché à ignorer tant de fois; qu’il tait constamment, qu’il s’est toujours forcé à ne pas voir.
Pour mieux se sentir couler.

Et les mots lui échappent, égoïstes et si violents, dans une bouche qui ne connait pas la vulgarité; qui ne connait pas la moindre impolitesse.

C’est quoi ton putain de problème ?

Alors seulement il le voit, rencontre son visage blond, ses traits qu’il semble reconnaitre. Il n’est pas sûr; c’est un peu flou; une impression de déjà vu qui n’appaise en rien son impulsion presque

Merci. C’est tout ce qu’il y avait besoin de dire, pour le congédier – et déjà le serveur s’en allait, sans oublier de dire: très bien monsieur Cornwall, mais s’il vous plait pas de duel ici.

Pas de duel ici, très bien.

Il n’était pas familier avec la colère. L’amour, les rires, la chaleur, l’empathie et la sympathie lui étaient des sentiments plus concrets – connus; gérés.
Ici, le contrôle était vague, vaporeux; il en oubliait les nuances - il n’en connaissait pas les revers.

Son regard alors s’éclaire d’une révélation presque grave.
Pas de duel ici – ça ne risquait pas, pas avec un cracmol. Il se souvenait bien, maintenant. Ne retient pas le passé qui, tel une vague dechainée, s’écrase sur le présent.

Cadwallame.

Et peut-être n’a-t-il plus la force de cacher le monstre, Hephaistos – peut-être veut-il juste le laisser se déchainer, une dernière fois.


@Aster Cadwallader  

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wrong memory + hephaistos Sam 9 Avr - 11:45
Aster transpirait tellement la fierté pour le raté qu’il était, que cela en était terriblement perturbant. Pourtant heureux et soudainement épanoui d’avoir réussi son coup à la perfection, jamais il n’aurait pu espérer que la bière puisse se renverser d’une telle façon sur un sorcier. L’envie de pouffer qu’il tente de refreiner avec une grande difficulté, car se contenir tandis que la totalité du liquide avait réussi à atteindre sa cible montrait les talents d’acteur du cracmol. Parce qu’il vient jusqu’à exprimer une mine triste, des très renfrogné et des sourcils crispés.

« Oh mon problème ? Je suis terriblement maladroit ! »

Hormis dans la sociabilisation, il ne l’était pas tant que ça. Toujours droit et magnifique, des gestes instinctifs mais toujours guidés par ses propres pensées. A tel point que tout semblait être calculé.

« Ça ne m’arrive pas si souvent que ça, mais il y a tellement de monde ici. »

Aster ne cherchait même pas à s’excuser, car ces mots pourtant si simples seraient capables de lui offrir une remontée acidique. Alors il se cherche des excuses toutes aussi ridicules que sa personnalité.

« Oh ? »

Qu’il hausse les sourcils lorsque son patronyme est partiellement cité. Si le visage de sa victime ne lui semblait d’aucun trait familier, l’inconscience d’un homme qui ignore même que ses souvenirs ont été rejetés jusqu’à même s’effacer entièrement de ses pensées. Un adolescent malmené, ridiculisé. Cela était simplement inconcevable compte tenu de la prestance de sa personne.

« Aurais-je affaire à un fan ? »

Car de par ses traits, Aster pouvait dire qu’ils étaient plus ou moins dans la même tranche d’âge. Si il ne semblait pas être étranger, il était donc probable qu’ils se soient déjà rencontrés lors de leur scolarité à Poudlard.

Un blond qui prend alors ses aises, d’une mine dégoûtée qu’il passe son bras par-dessus l’épaule de ce sorcier afin de s’asseoir à ses côtés. Un grand sourire, rempli d’amertume pour cette race.

« Mais bon j’imagine que l’école c’était pas trop ça vue que c’est plutôt l(e)ader »

Bras toujours sur son épaule, qu’il tente de masquer son dégoût face à l’humidité et la puanteur de la chemise. L’envie de lui conseiller d’aller prendre une douche car la journée ne semblait pas lui réussir semblait lui venir à l’esprit. Mais Aster paraissait soudainement être un peu plus enjoué, baladant l’homme de droit à gauche.

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wrong memory + hephaistos Ven 15 Avr - 12:18

Et c’est presque immédiat,
Quand la pointe de culpabilité déjà s’annonce dans le creux de son estomac.
Couvert de bière et d’amertume, il ne peut s’empêcher, de vouloir reprendre ses mots. Calwallame – c’était ce genre de comportements, qu’il s’était promis de ne plus avoir. Qu’il ne voulait plus associer à lui-même et pourtant, regardez-le, pathétique monstre arrogant.
Chassez le naturel et il revient au galop, disait-on.

Alors peut-être ses yeux se font un peu fuyants, se font un peu évasifs quand il prend conscience de son langage, de ses mots. L’impulsion fugace le poignarde de son éclair, autant que les remords de sa vulgarité imprègnent ses traits.

Hephaistos est fatigué; entend que le cracmol n’a pas fait exprès – qu’il est maladroit. Et il veut le croire, dans sa naiveté (parce que si ce n’est pas le cas, il se sent sur le point d’exploser – et tout sauf ça, par pitié). Il tente de reprendre contenance, de redresser ses épaules un peu abandonnées; mouillées; peut-être était-il vraiment maladroit; peut-être n’y était-il vraiment pour rien.
Peut-être suffisait-il de s’en convaincre pour y croire et se calmer.
Malgré le nombre incalculable de raisons que ce strangulot pouvait avoir pour lui jeter sa bière dessus.
Malgré le nombre d’arguments que le sorcier pouvait lui accorder.

Ses doigts attrapent l’arrête de son nez, il ferme les yeux pour tenter d’oublier – de se calmer, de respirer, de se retrouver. Il joue avec sa patience autant que son état – un fan, vraiment ? Il retient sa propre amertume, serre un peu les dents pour ne pas lui répondre que le seul fan qu’il n’aurait jamais; ce serait lui-même. Mais au moins cela semblait-il lui suffir; lui convenir.
Il se retient de le rabaisser pour ne pas se sentir sombrer; après tout, qu’est-ce qu’il en savait.

”C’est ça, un fan. se contente-t-il de dire avec un dédain un peu ignoré; un peu là pour ne pas répondre autre chose; rester cordial.

Il se rassoit pour attraper son manteau laissé dans le coin de la banquette et espérer filer – un coup de fil à son rendez-vous devrait suffire. C’était sans compter sur le cracmol qui semblait décidé à rester à ses côtés et à le balancer – proche, trop proche.
Hephaistos aurait pu lui répondre simplement qu’il n’avait pas le souvenir de l’avoir vu leadé autre chose que sa déchéance, mais les mots se perdent quand il sent un bras sur ses épaules, quand son cou autant que ses épaules se braquent et que l’impulsion le pousse à agir plutôt qu’à parler.

“Me touche pas, t’as assez fait de dégats.”

Sa main attrape peut-être un peu plus fort qu’il ne le voudrait le bras pour le jeter loin de lui; peut-être son geste est-il un peu moins contrôlé qu’il l’aurait voulu; plus guidé par la colère qu’il ne l’avait souhaité. Il se dégage du bras qui enserre ses épaules pour le balancer; presque dégouté de cet affront qu’il comprend provocateur – de cette provocation insolente; détestable.

Il tente de se contenir pourtant, vraiment. Alors il soupire; ne veut pas se lancer dans un duel contre un foutu cracmol, incapable du moindre sort. Car que diraient les gens, que penserait-on du nom des sang-purs qui s’en prennent à ceux incapables de se défendre. Dans un monde trop dangereux pour eux.

“C’est vraiment pas le moment, vas polir d’autres baguettes*.

Il a froid, Hephaistos; sa chemise trempée empeste et colle à sa peau, et l’on pourrait féliciter son sang-froid s’il n’avait pas lui-même l’impression d’en manquer. Et son manteau en main – il aimerait bien passer; mais le voilà bloqué, le sorcier, sur sa banquette, à se retrouver les mots bloqués dans la gorge. Excuse-moi, je dois passer; cela lui semblait hors de question, autant que toute autre formule similaire. Et aucune autre lui venait qui lui paraisse correcte; polie ou juste neutre. Alors il reste plusieurs secondes à chercher quoi dire; espérant qu’il lise dans ses pensées pour dégager simplement.  

“T’es sur le chemin.”

Vraiment, il n’avait rien trouvé de mieux.

*expression de sorciers décrétée par moi-même.


@Aster Cadwallader  

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wrong memory + hephaistos Lun 18 Avr - 12:27
Allons bon, qu’il se dit face à la réaction du sorcier.

« Ma maladresse aurait réussi à te mettre en colère ? »

Des mots joyeux et chantonnant, pour un cracmol qui n’avait aucun souvenir exact de cette personne qui lui faisait face. A ses yeux, l’inconnu n’était qu’un sorcier parmi tant d’autre, à qui il avait fait vivre un enfer durant la fin de sa scolarité à Poudlard. Il ignorait tout, des rabaissements et des malheurs dont il avait été victime à cause de son sang et de son caractère pourri jusqu’à la moelle. Sa vision du monde et ses souvenirs avaient été échangés : une protection inconnue de son esprit meurtri et saccagé.

Alors, il était presque étonné face à ce semblant de rébellion, les gens grandissaient certes, mais la confiance en soit n’était pas si facilement acquis – pas en si peu de temps du moins, n’est-ce-pas ? Et son dégoût était certains lorsque les traits d’Aster finir par se durcir. Il regarde ce bras qui avait tenté d’être cordial, ce bras qui avait été rejeté et balancé comme un vulgaire objet. Alors de son autre main, il vient le tapoter furtivement mais avec une grande attention, une façon de nettoyer la saleté d’avoir été ainsi côtoyé avec l’un de ces immondes sorciers.

« Ahahahah. »

Et tandis qu’il explose de rire, d’un air rauque et gras. Semblerait heureux, rigole à pleine dent comme s’il était face à un ami d’antan.

« T’as fait une école pour être comique après Poudchiasse toi. »

Tout amusement qui s’échappe, le sérieux qui revient trop rapidement au galop pour avoir été sincère une seule seconde. Si l’humour n’avait jamais été son fort, Aster n’appréciait pas ce genre de remarque à son encontre.

« Enfin t’inquiète pas pour moi, pas besoin de m’inviter à ton prochain spectacle. »

Du moins si des gens étaient assez fous pour lui offrir une chance.

L’étonnement fini par se lire sur son visage, lorsque le sorcier se lève armé de son manteau. Tente de voir s’enfuir, de s’échapper. Avait-il enfin compris à qui il avait affaire ? Mais pensait-il réellement pouvoir s’enfuir ainsi, comme un vulgaire chien la queue entre les jambes.

« Tu comptes m’abandonner alors qu’on vient tout juste de se retrouver ? »

Mine triste, que sa lèvre inférieure prend de l’avance sur la supérieure.

« Je te repayerais une chemise t’inquiète, c’est dommage qu’on se quitte sur cette mauvaise note. »

Il devait bien avoir une ou deux chemises d’une contrefaçon d’une marque terriblement connue, de quoi raviver l’espoir dans un sorcier de sa carrure inexistante. Alors Aster ne bougerait pas d'un pouce car après tout, il n'avait même pas encore commencé à s'amuser.

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wrong memory + hephaistos Ven 22 Avr - 21:41
Être humain,

Était peut-être plus que de sourire, que de vouloir aimer et chercher à être parfait.
Être humain, c'était aussi s'énerver, sentir ce bouillonnement face à un autre joueur; face à un autre qui se pensait malin; se croyait divin.
Mais Hephaistos n'était jamais en colère - Hephaistos avait laissé son humanité il y a bien longtemps pour ne devenir qu'une façade lisse; n'était-ce pas ce qu'on attendait de lui ?

Il se sent bouillonner pourtant; retient la plupart de ses réponses pour ne pas se faire entendre trop en colère - ou trop sur les nerfs. Pour ne pas montrer, qu'il a envie de l'étripper - garder son image avant tout; c'était ce qu'il fallait.
Ce qu'il fallait.
Malgré l'insulte à Poudlard.
Malgré le rire détestable.

Et pour qui se prend-t-il, à prendre les grands airs qui ne lui vont pas; ceux qui n'ont pas lieu d'être. Ce n'est pas tant ses paroles que ses gestes, son comportement, qui serrent la machoîre du sorcier; lui qui évite de le regarder, qui se concentre pour ne pas s'énerver.
Il ose essuyer son bras comme s'il était dégouté qu'il l'ait touché; c'était pourtant le contraire, qui aurait dû être.
Qui était, en vérité.

"Aucun risque."

Aucun risque qu'il ne l'invite nul part tout court. Alors il estimem qu'il est temps de partir, temps de s'éclipser avant de se sentir dériver; et n'était-ce pas déjà le cas ?
Peut-être Caldwallame avait-il pu voir son visage surpris se déformer; ses sourcils se froncer quand il refuse de le laisser passer. En vérité, Hephaistos n'était plus sûr de s'en inquiéter; pas maintenant.

Il pouvait bien se la garder, sa chemise de pacotille. Même en travaillant toute sa vie, il ne pourrait lui offrir le quart de ce qu'Hephaistos s'offrait aujourd'hui.

"Y aura jamais de bonnes notes Caldwallame. Même avec toute la volonté du monde, t'es incapable de te défendre contre un pauvre crache-limace."

Une brebie entre les loups.
Un minable fragile dans un monde trop dangereux pour lui.
Un cracmol sans le moindre petit pouvoir.
Des mots qu'il lui avait probablement déjà tenus.
Une menace ? Qui sait.

Ne lui avait-il pas dit, que ce n'était pas le moment ? Que voir sa tête de raté maintenant était la dernière chose dont il avait besoin. Qu'il voulait juste rentrer chez lui, se changer - garder les choses calmes, ne pas s'emporter.
Ne rien empirer.

"Je te demande même pas ce que ça fait, d'être incapable d'égratiner un boursouf. Dommage que t'aies pas gagné en intellect avec le temps, t'aurais pu compenser."

Il s'emporte Hephaistos - lui aussi oublie de réfléchir, un instant. Pourtant sa voix ne se fait pas plus forte; elle est même assez discrète, étonnemment. Juste remplie de cette haine qu'il a pour l'être abject en face de lui; qu'il a pour le monde; qu'il a pour lui-même.

" 'Faut croire que c'est dans ta nature, d'être un raté. Dégage, j'ai vraiment rien à faire avec quelqu'un comme toi."

Oh n'était-il pas si généreux, Luke Hephaistos Greengrass; à ne pas s'en prendre aux plus faibles, à ceux qui ne pouvaient rien contre lui ?
Aux ratures de la nature.

Condescendant.  

@Aster Cadwallader  

Ce RP fut douloureux à écrire, je tiens à le dire. pk

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