Des couleurs,
Hephaistos ne voyait que les nuances; celles de noirs et celles de blancs, les gris qui se façonnent et se mélangent dans ces décors pourtant si vivants.

Hepha,
Il ne la reconnait pas tout de suite, de dos; sait pourtant que c’est elle, car qui pouvait bien s’aventurer à cet endroit, à cette heure si avancée. Qui pouvait vivre si simplement, si pleinement ? Un rire lui échappe, sincère, alors qu’il finit de s’approcher de cette silhouette qu’il ne connait qu`à peine; que trop peu.
Et entre les nuances de gris, de noirs et de blanc, dans ce tabeau sans couleurs et poussiéreux, il y a un rayon doré, il y a des lueurs orangées. Il y a Eleonore, il y a Leo; à la voix légère, aux couleurs chaudes et à la belle simplicité; rassurante. Cet accent français, qui le fait frémir de cette élégance particulière; et ce sourire éclatant, ce soleil bien plus fort que le monotone de cette fin de journée.
Il avait oublié (comme le temps passait), que certaines personnes étaient ces miroirs de couleurs, qu’ils pouvaient refléter les rayons de milliers de nuances, que le blanc pouvait lui aussi être brillant. Que les autres - autrui -  avaient une beauté bien plus douce, plus belle que le château dans lequel il s’effaçait.
Que la vie pouvait avoir d’autres aspects, quand on les lui accordait.

- “Magnifique, comme toujours, mylady.”

Ce sont les conventions et l’humour qui répondent, des phrases toutes préparées et déjà répétées, creuses; celles qui cachent les vérités, même les plus belles. Pourtant, ses mots sont amusés, car il ne s’en cache pas, en sourit même, de sa douce ironie. Du secret de ses vérités.
Parce qu’il sait, Hephaistos, qu’il aurait pu le lui dire. Que quelque part, qu’à l’envers, que sous les rayons de ce coucher de soleil, elle lui apparaissait ravissante, si vivante, épanouie. Car entre les mots; il y avait cette couleur, ce doré léger, pas trop vibrant, délicat; ce sourire vivant – et ses cheveux pouvaient bien être courts ou longs, ils n’y auraient rien changé.
Mais ce n’était pas le genre de choses qui se disaient, chez les Greengrass. La vérité était dangereuse, aussi belle pouvait-elle se présenter. Du moins pour Hephaistos.
Du moins pour Hepha.

Alors il s’approche un peu plus; toujours droit, contrastant avec les couleurs, s’impose dans son manteau froid sur ce toit, s’élance sur les hauteurs de ce bord, si proche du vide; si proche de sa liberté à lui. Le gris détonne toujours, avec autant de couleurs; autant de luminosité.

- "C’est un bel endroit... J’ignorais que tu aimais les hauteurs." Il est sincère, se perd un instant sur la vue. "Tu fuis quelqu’un ou juste la société ?"

C’est l’humour qui perce sa voix et pourtant bien la curiosité qui berce ses mots. Que fuyait elle ? Quelqu’un ? Le quotidien; les obligations ?Comme lui ? Ou avait-elle besoin de se ressourcer; elle aussi; de trouver l’oxygène qui lui manquait.
Il sourit; amusé, l’oiseau tant à l’aise sur le bord de sa falaise.
Peut-être aimait-elle juste la beauté des paysages; des reflets du soleil. La douceur de penser.

Lui était habitué à voir le monde d’en haut, du ciel lorsqu’il déployait ses ailes – ne se préoccupait plus du vide à son côté – l’une des rares nuances qui le faisait croire en sa liberté. D’une aisance droite, confiante et délicate, il s’assoit à ses côtés, un pied dans le vide quand l’autre reste sur le bord de l’immeuble, palpable.  
Il y a quelque chose de plaisant, dans les couleurs qui apparaissent sous ses yeux ternis de poussière. Dans ce monde sous leurs pieds qui tourne, quand eux semblent se figer dans le temps.

- "J’ai l’impression que ça fait une éternité." N’était-ce pas le cas, en vérité ? Peut-être pas tant que ça. "Il me semblait avoir convenu qu’on se verrait plus souvent."

Il poke son épaule doucement et sourit, amusé de ce faux reproche - qu’il se fait à lui aussi -, se tourne vers son profil, curieux. Ses cheveux la changeaient réellement, la rendaient plus lumineuse encore, s’ose-t-il à penser. Plus mature, peut-être. Il se perd une seconde sur son visage dégagé, comme s’il pouvait y voir quelque chose de nouveau, une lueur qui lui était inconnue dans ce regard vivant.

- Tu avais besoin de changement ?

Ou une simple envie. Et dans cette déconstruction de pensées, dans ce présent hors du temps, il voulait savoir comment elle allait, ce qu’elle devenait; il voulait respirer un instant, se sentir léger; l’écouter vivre.

@Éléonore De Sade

Douceur, ou mystère,
il n'aurait su dire ce que lui inspirait ce sourire; rayonnant, majestueux. Ce quelque chose de léger et de complet qui réveillait une curiosité presque aiguë; trop importante pour qu'il puisse entièrement l'ignorer. Jamais assez pour qu'il lui cède entièrement.

Il parait que les oiseaux aussi. Car lui était de ceux là, de ceux qui ne voyaient plus la beauté du ciel et des vertiges.  La subtilité avait de ceci qu’il le lui avouait à demi-mot, sans oser en dire trop. Dois-je en conclure que votre patronus est un félin, mademoiselle De Sade ?

Mais les félins étaient si nombreux; quel aurait été le sien ? Une panthère; un lynx, un chat - les possibilités étaient infinies. Et lui, si proche de la nature, de ces animaux qu'il tenait en profond respect; aimait savoir, comparer; cerner. Il la connaissait trop peu pour pouvoir deviner; et la frustration avait quelque chose de plaisant, étonnement.

Il respecte son sourire autant que son silence; ainsi ne saurait-il pas ce qu'elle fait sur ces toits; tel le félin qui se délecte de ce coucher de soleil qui semble irréel. Un mystère pour le faire sourire un peu plus; alors qu'il s'assoit à ses côtés; si désireux d'en savoir plus, de l'écouter.
Qui était-elle vraiment ?

Ses yeux finissent par tomber sur le paysage, sur cette vie qui défilait sous leurs yeux sans qu'ils ne la voient et pourtant; la voyaient. Les voyaient, ces gens;  et il l'écoute, cette vie à côté de lui.
Une vie bien moins présente, pourtant. Elle lui tire un sourire, nostalgique de se sentir un peu égoïste; de passer à côté de ce qu'elle aime, de cette façon si belle de laisser la place à l'imprévu - de ne pas avoir le contrôle.

Le hasard est réservé à ceux qui savent se laisser vivre; et  n’aurait-ce pas été dommage, de perdre ces nuances; de ne jamais se ressourcer de cette douceur ? Je ne peux pas compter sur lui et espérer qu’il y ait encore quelqu’un pour me proposer un rendez-vous sur un toit de Londres magique à cette heure-ci.

Parce qu’il ne savait pas vivre, pas entièrement.
Elle était unique; Leo, dans cette légèreté, dans ce mystère chaleureux, presque mystique, qui l’entourait. Il se demandait; Hephaistos, qui elle était – dans son entièreté. Quand elle montrait plus que ce visage pensif, que ce sourire simple; doux. Quand son regard ne se perdait pas sur lui mais sur ce paysage; sur ce monde trop rempli; trop loin.
Que se disait-elle; quels étaient ses démons ? Car tous en avaient, même les plus souriants, mêmes les plus libres. Même Léo.

À tout le monde, ou juste aux courageux ?
C’est une belle qualité, Léo, de vivre. De se laisser aller, sans trop se poser de questions; d'écouter son coeur plutôt que sa raison. De juste oser et essayer.

Mais peut-être que les vivants ne voyaient jamais réellement les morts, pas complètement; Hephaistos se savait invisible; trop enterré derrière lui-même. Il ne pouvait faire partie de ceux qui répondaient aux lubies; ni de ceux qui pouvaient se montrer entièrement.
Lui-même s'ignorait partiellement.
Alors il observe les reflets oranges sur la compagnie qu'elle lui tient, et il se demande ce que ça fait, d'obéir à une envie soudaine. Comprend peut-être amèrement qu'il n'a pas le souvenir que ça lui soit arrivé, réellement.
Sourit; pourtant. Heureux de la savoir légère, au moins de cette façon.
Douce et mystérieuse..


@Éléonore De Sade

Patronus,

Fumée éphémère témoin de personnalité, d’intimidité. Et Hephaistos découvre la forme blanche, chafouine se faufiler sur les toits, s’agiter au-dessus de la ville comme pièce maitresse de cette rencontre. Alors il se retourne, Hephaistos – suit du regard ce bel être avec un sourire lointain, l’un des penseurs, de ceux qui ne sont qu’apparence.
Un chat, de lumière court sur ces toits.

Et il se dit ; Hephaistos – qu’au final, il ne la connaissait pas – il ne la connaissait que si peu, Eleonore. Qu’il aurait aimé savoir, ce qui faisait d’elle cet animal si particulier, celui qui le chassait – habituellement.

Et il la regarde ; ranger sa baguette dans sa botte – un endroit bien particulier ; pensif un instant. Devait-elle le chasser ? Il rit, dépité ; car quand bien même ne sait-elle pas qu’il est oiseau, elle semble savoir qu’elle est son prédateur – et ça le fait sourire, secrètement.

C’est ce que font tous les chats, le chasser - avoue-t-il, amusé, répondant à son sourire, plongeant son regard bleu dans celui si mystérieux de sa pale compagnie. Mais j’apprécierais si tu te contentais de m’épargner.

Et il rit un peu ; conscient qu’il n’était pas si vulnérable qu’il l’avouait – si peu conscient de ce qui le menaçait. S’il aimait les animaux, s’il les connaissait et pouvaient comprendre leur nature – il en était de certains qui lui échappaient. Les chats, notamment. Eleonore, Leo, indéniablement.

Reste loin de mes cheveux, rit- il en y passant une main distraite, couvrant ses doigts dangereux en forme de ciseaux de sa main pour la cacher. Et il est étonné de leur froideur, Hephaistos ; lui dont la paume est toujours si chaude, si chaleureuse ; lui qui aime tant les contacts, qui aime tant partager. Ne dit rien cependant, se contente de la lâcher – de regarde le doré en face d’eux, cette ville éteinte et pourtant animée.

J’aimerais éviter un massacre avant de finir dans le stupeshit. Doutait-il de ses talents de coiffeur ? Peut-être.

En revanche, il ne doutait pas un instant de son courage, étonnement. N’aurait pas été étonné de la savoir auror, ou briseuse de sorts.
Et il soupire, un instant ; non, ce n’était pas les stupides, qui avaient du courage. Seulement les chanceux ; seulement ceux qui étaient libre de voler ou de chasser ; ceux qui savaient vivre.

Je ne sais même pas ce que je ferais, si tu me prêtais un peu de ton courage.
Parce qu’il ne savait pas être courageux. Sa vie n’était-elle pas d’un ennui ? Que s’interdisait-il vraiment – si ce n’était de vivre pour de vrai. Exister lui convenait – et plus courageux, il se voyait dangereux. Il se voyait celui prêt à voler un héritage à tout prix, il se voyait celui qui s’imposerait comme dédaigneux plutôt qu’aimant.
Être peureux était ce qui le rendait si concilient, Leo. Et il le savait - était terrifié de lui-même, en vérité

Au fond pourtant, il ne dirait pas non, Hephaistos – a un peu de courage, à un peu de vie. Il refusait à contre-cœur, de se laisser aller – ne savait même pas réellement ce que c’était, que d’oser.

« Et c'est s'illusionner; de croire que ce sont les stupides. Les courageux sont les intelligents – ne sont-ils pas ceux qui profitent de ce que la vie a à offrir ? »
Les chanceux.
Ne disait-on pas que les stupides étaient heureux ? Cela ne les rendait-il pas infiniment plus intelligent que ceux qui pensaient ?

@Éléonore De Sade

Et si elle promettait; si elle lui disait qu'elle l'épargnerait, alors il pourrait la croire; et il riait distraitement, de cette conversation un peu décalée, un peu ailleurs.

Les chats peuvent donc avoir un coeur, taquine-t-il d'un sourire sincère.

Mais ils disparaissaient souvent aussi, Leo; et ça aurait pu le rendre triste, si l'ambiance n'était pas si douce; ne lui paraissait pas si iréelle, au-dessus de la ville, au-delà du temps.

"Rien de trop dangereux, j'espère."

Parce que s'il savait, peut-être serait-il scandalisé; impressionné; surtout inquiet.
Mais il n'y avait qu'un sourire curieux, pour accompagner son ignorance heureuse; à l'image du coucher de soleil qui éclairait ce moment de douceur. Et parce que les contacts physiques étaient communs, parce qu'il en avait souvent besoin; lui ne voyait que la froideur de sa peau entre ses doigts plutôt que le geste qu'il jugeait normal; presque banal.
Il veut lui demander si elle a froid; se dit qu'elle ne le lui avouera pas.

Finit malgré tout par la lâcher quand il n'a plus besoin de retenir ces ciseaux menaçant, se concentrant un peu sur elle, un peu sur tout.
Si libre; rayonnante dans sa paleur chaleureuse.

Et il pourrait lui dire, Hephaistos; que celui dont il a le plus peur, c'est de lui-même; c'est son reflet dans un miroir du risèd, portant une bague qui ne lui revient pas de droit. C'est lui et ce qu'il aurait été capable de faire, avec un peu plus de courage et d'égoïsme.
Mais à la place, ses pensées se tournent vers l'horizon; et il lui faut quelques secondes, pour trouver ses mots. Pour se souvenir que son épouvantard n'a rien à voir avec son reflet.

"Je ne sais pas si on peut parler de peur."

Il hausse alors les épaules. Lui est plus habitué à écouter qu'à parler; trouvait des difficultés à formuler ce qu'il ressentait avec sincérité.
Une confiance aveugle envers une presque inconnnue; une simple connaissance et pourtant.

"Peut-être que si. Je ne veux juste pas décevoir les gens autour de moi. Mais ce n'est pas dans la peur de décevoir; c'est plus... Je sais pas. Je veux juste qu'ils soient heureux - et si être courageux, c'est devoir y renoncer, alors je crois que je préfère ne pas l'être."

Vivre dans l'ombre - ne s'y était-il pas accoutumé, n'y était-il pas suffisamment habitué pour le supporter. Voir les autres courageux le rendait envieux; pour autant, ne trouverait probablement pas le courage de le devenir lui-aussi. Même si on lui tendait la main - comme elle le faisait, si simplement.

"Mais même les courageux ont des peurs, non ?" et son sourire se dirige vers elle, un peu curieux.

Si elle n'avait pas peur du vide; de quoi avait-elle peur ?
Les chats n'aimaient pas les chiens; et il ignorait, à quel point il était si peu loin de la vérité.

@Éléonore De Sade

Et il rit à coeur ouvert, Hephaistos; sans se soucier du coucher de soleil, sans se soucier de la fin de journée ou de tous les à côtés qu’il peine pourtant à oublier.

“La trahison nait de la confiance, je suis honoré.”

Un instant, il reste un peu tétanisé, un peu timide, de sentir sa main sur la sienne; ce sont des gestes qui viennent souvent de lui, car il est chaleureux, le sorcier aux yeux pourtant froids, il est de cet amour qu’il donne à tous, aux inconnus et aux autres; il n’y voit aucun problème car il estime ces choses normales, venant de lui; habituelles.
Mais il est peu habitué à ce que ce soient les autres, qui prennent ces initiatives, qui le rassurent. Il n’est pas sûr d’aimer, sans pour autant se braquer ; n’est pas certain de réussir à éviter de penser que c’est normal. Et il hésite à lui dire – qu’il sera bientôt fiancé; se retient pourtant.
Cette même main toujours aussi froide que précédemment.

Il est touché de l’entendre lui parler, absorbe chacun de ses mots avec une surprise à peine dissimulé. Hephaistos n’est pas habitué à être rassuré; n’est toujours pas à l’aise avec ses paroles – ne sait comment réagir, pas totalement. Alors il se contente de poker sa joue, parce qu’il n’a pas oublié, cette langue tirée qui l’a fait sourire.
Il n’a pas oublié, avoir compris qu’elle choisissait le danger à la paisibilité.

“En parlant de sortir les crocs, fais attention sur ce foutu rebord si tu ne veux pas que je sorte les miens.”

Parce qu’il est loin d’imaginer, Hephaistos, que les crocs qu’elle arbore ne sont pas les mêmes que les siens – n’est peut-être pas assez observateur, pour s’en rendre encore compte. Ou peut-être cache-t-il ses doutes tant qu’elle ne lui révèle rien. Mais il imagine très bien qu’elle ne peut pas se transformer en oiseau ou déployer des ailes si elle venait à tomber – au mieux pourrait-elle compter sur leurs réflexes pour amortir la chute d’un sort envoyé.

Et touché, il pose sa deuxième main sur la sienne comme pour la réchauffer.
Sandwich.

“Merci, Leo. Je ne suis pas sûr d’être rassurant, mais j’imagine que t’as pas entièrement tort; il y a des points positifs dans chaque aspect et des forces dans chaque faiblesse.”
Parce qu’il n’est jamais sûr qu’il sera un jour assez – au moins pouvait-il se consoler en se disant qu’il pouvait être là quand il fallait.
“Tu es gêlée – tu veux qu’on rentre à l’intérieur ?” Il serre un peu sa main sur la sienne – comme si ça pouvait aider.

Et puis; il se demande ce qui lui fait peur, à elle – chat sauvage et pourtant – une fois encore, elle le surprend.

“Ne me dis pas que je te terrifie plus que ce vide, je ne veux pas m’imaginer sous un ridikulus.”

Il plaisante à moitié, faussement outré de l’entendre dire que ce sont les gens qui la terrifient. L’humanité pouvait être effrayante, il le concédait volontiers. Et quand on regardait les dernières années passées, les meurtres des Lestranges, les idéaux dangereux et biaisés d’hommes devenus trop importants et disparus; Hephaistos concevait entièrement, la peur de l’humanité.
Il choisit pourtant de la questionner un peu plus – peut-être parce que quelque part, il se dit que ce n’est pas ça; qu’il y a autre chose. Que les autres, c’est vaste, que ça peut tout et ne rien dire – qu’elle est mystérieuse, cette française à l’accent séduisant.

“Je suis plutôt étonné, je ne t’ai jamais imaginée comme un oiseau timide.”

Il l’affirme, car dans ses sourires et plaisanteries, il ne s’est jamais imaginé la voir hésiter devant quelqu’un - ou la voir s’effacer pour ne pas s’imposer. Alors il ne ment pas – penche un peu la tête sur le côté pour mieux la regarder; il ne pouvait plus oublier, que son patronus était un chat. Et il se demande; Hephaistos – si

“Ou tu parles d’un autre type de peur ?”


@Éléonore De Sade