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Le monde magique a bien changé dans les années 2000. Il s'est inspiré de la technologie moldue pour évoluer. Ainsi, presque chaque sorcier possède un téléphone portable et un accès au magicnet. Cependant, il est toujours soumis au code du secret et certains conservateurs craignent cette ouverture... surtout dans un monde qui vit encore caché. Les guerres politiques et sociales persistent... (Suite)

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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive
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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Sam 23 Oct - 23:40
Nos corps à la dérive


Les sourires polis qui s'étirent tandis qu'elle enchaîne les rencontres depuis qu'elle a laissé Teddy aux bras de Sage. Iphigenie dans sa robe de sang se fait cordiale, rit de bon coeur aux blagues trop fausses de ses interlocuteurs et subit les regards qui varient entre mépris et pitié sans jamais se plaindre. C'est un exercice qu'elle déteste, pourtant elle s'évertue à faire en sorte que tout se passe le plus agréablement possible pour tout le monde. Malgré la fatigue garde le sourire, malgré la colère ne fléchit pas. Alors parfois les sourires de façade de ces visages qu'elle tente de rallier à sa cause (à celle de Jasper) deviennent plus sincères et c'est précisément ce moteur qui la fait persévérer toujours plus.

Elle laisse échapper un doux rire tandis qu'elle salue d'une petite révérence son partenaire d'une danse avant de le remercier et de s'en aller voguer ailleurs. Virevolte entre les corps habilement, un verre de champagne rempli à la main, le second dont elle n'a pas touché une goutte après celui prit avec Teddy. Cette coupe n'est après tout rien d'autre qu'un accessoire destiné à faire apprécier les discussions qu'elle amène souvent de façon détendue malgré leur sérieux.

Tranquillement, elle prend les escaliers pour se rendre aux sous-sol et profite qu'il n'y ait personne en chemin pour lâcher un long et profond soupir. D'une main se saisit de son téléphone portable habilement rangé dans l'une des discrètes poches de sa robe pour envoyer un sms à Jasper afin de savoir où il se trouve.

Alors qu'elle va pour passer devant les toilettes hommes, la porte s'ouvre et elle s'arrête de justesse avant la collision. Relève les yeux vers la silhouette qu'elle aperçoit du coin de l'oeil dans l'encadrement afin de s'excuser, les mots n'ont pas le temps de sortir qu'elle se fige en te voyant, laisse son pineaple tomber au sol sans plus de considération.

Toi, Valerian.
T o i et tes doigts contre sa gorge.
T o i qu'elle a aidé à fuir.
Toi qui la hait, pas vrai ?

Toi l'a brisée.
L'inspiration est fébrile tandis que de sa main libre, pas instinct, elle vient toucher sur sa peau des marques qui ont disparues, son regard perdu.

Val...

Avant de serrer les dents brusquement face au torrent d'émotions multiples qui l'assaille violemment. Celle qui prend le dessus sur sa stupeur, c'est la colère de voir qu'après tout ce que tu as causé tu es encore là. Debout face à elle, en plein dans son chemin.

Valerian.
Espèce d'enfoiré.

Alors qu'elle te vide soudain le contenu de son verre en plein visage, elle se saisit de sa baguette, après avoir rapidement vérifié qu'il n'y avait personne autour, pour la pointer dans ta direction. Droit sous ton menton qu'elle relève légèrement.

Recule !
Ne m'approche pas.


Résumé : Iphi a laissé Teddy après sa danse pour faire les yeux doux aux invités et obtenir un peu de soutien. C'est crevant et ça l'énerve mais les rares sourires sincères qu'elle reçoit en retour la motivent à continuer. Après presque une heure elle prend une pause et descend aux wc. Un sms à Jasper et elle tombe sur Valerian qui l'a étranglée à peine quelques jours plus tôt pour pouvoir s'enfuir. Super... Du coup big drama, le trauma qui pop elle bug un instant mais se reprend. Champagne dans le visage, elle check la zone et le menace de sa baguette en lui ordonnant de reculer pour re-rentrer dans les wc hommes comme ça elle va avec.


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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Dim 24 Oct - 19:03

(wizgala) nos corps à la dérive
octobre 2031

La soirée avance et les déconvenues ne te font pas reculer. Tu as pu croiser de drôles de spécimens, notamment dans les cuisines ou ça a fini au sol pour une histoire de gateau à la fraise. Tu t'étais enfui après la bataille et les présentations, t'éclipsant dans les toilettes des hommes. Devant le miroir, tu remets ton chapeau de Willy Wonka sur la tête - croises ton regard et te toises d'un air plus qu'impérieux. Tu n'as pas d'autres choix que de t'affronter dans la glace. Ce que tu vois ne te rend pas spécialement fier, pourrait même te dégouter, mais tu encaisses la déception sans ciller.

Tu ne peux pas (tu ne veux pas) renoncer maintenant. Tu as encore du chemin à faire, Valerian, et tu ne laisseras pas ces merdeux te marcher dessus ou t'empêcher d'aller encore plus loin.
On tira la chasse derrière toi et un des convives sort d'un des toilettes. Alors qu'il se lave les mains à côté de toi, il étire un sourire condescendant que tu lui renvoies. Tu sais qu'à leur yeux tu restes le cracmol qui a eu de la chance de se faire maltraiter pour avoir son heure de gloire, et on se demande ce que tu fous là.
De quel droit ?

Tu vas pour sortir à ton tour, et en ouvrant la porte tu te retrouves nez à nez avec un corps en plein milieu du chemin. Ton sang ne fait qu'un tour quand tu reconnais Iphigenie Fawley et tu te figes entièrement. Le regard braqué sur elle, les iris incandescents et le coeur en otage. Il s'est même arrêté pendant plusieurs secondes avant de repartir comme si de rien n'était...
Tu vas pour la contourner, lâche mais innocent, mais elle te jette son verre d'eau à la gueule.
Tu grimaces, crachant l'eau par les narines et la bouche, et outré tu vas pour gueuler.

— « Eh pouffiasse ça va pas bien ?! »

Menacé par la baguette tu sers les dents et obéis à contre coeur, reculant lentement pour rentrer dans les toilettes. Tu la foudroies du regard, comme si t'allais la tuer.
Et comme un coupable tu vérifies son cou, voir si elle n'a rien. Dans la pénombre de la cave tu ne te souviens plus vraiment à quel point tu avais pu serrer.

— « T'es pas encore crevée ? Et qui t'a invité ? »

T'es sur les nerfs, et t'aimes pas être pris au piège.

Résumé ; il était aux toilettes à se regarder dans le miroir en mode edgy puis finalement il sort, tombe sur iphigenie. il est un peu en mode OH SHIT CRAP et ça se fixe en mode chiens de garde 10sec. il se prend le verre et l'insulte mais est obligé d'obéir sous la menace... il va exploser cet enfant iphigenie tiens toi bien ou il te saute dessus ça va encore pleurer
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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Jeu 4 Nov - 13:39
Nos corps à la dérive


T'es pas encore crevée ? Et qui t'a invité ?
On a connu plus amical comme accueil.

Lentement elle s'abaisse, sa baguette toujours pointée dans ta direction, pour récupérer son téléphone, déposer la coupe au sol sans la briser et se relever. Le sourire mauvais aux lèvres et son regard qui te lance des éclairs -c'est bien dommage qu'elle ne soit pas morte, pas vrai ? Parce que t'es dans la merde maintenant.

Faut croire qu'il n'y a pas que les rats qui vivent longtemps. Essaie plus fort la prochaine fois.

Sarcasme qui s'échappe alors que la porte des wc se referme derrière vous. D'un mouvement de baguette elle ouvre toutes les cabines dans un fracas pour s'assurer qu'il n'y a réellement personne d'autre que vous, puis d'un autre elle vient verrouiller l'entrée. Repointe sa baguette droit sur toi, le sourire disparut, elle continue d'avancer.

Recule encore.

Contre le mur.
Ses doigts se resserrent autour de leurs prises avant qu'elle ne s'arrête finalement en plein milieu de la pièce.

Comment fais-tu pour toujours gâcher les chances que l'on t'offre, Valerian ? Tu tiens tant que ça à mourir ?

Parce qu'elle ne tient pas tant que ça à te tuer, tu sais. Seulement entre ses envies et ses besoins il y a un monde bien trop imprévisible même pour tes pronostiques.


Résumé : Elle aime pas casser la vaisselle alors elle pose son verre à l'entrée des wc, récupère son tel et part se coincer à l'intérieur avec Valerian avant de le menacer. Faut dire qu'il abuse aussi jpp.


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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Jeu 4 Nov - 18:29

(wizgala) nos corps à la dérive
octobre 2031

Putain maintenant ton costume va coller. Tu passes ta langue sur tes lèvres pour récupérer quelques gouttes du champagne mais n'en démords pas pour autant. Tu recules à contre coeur, un peu alarmé de ce qu'elle pourrait faire avec cette baguette. T'avais pas prévu de la croiser à ce foutu gala, ni elle, ni son abruti de frère Jasper. Tu espères secrètement que celui-ci ait pu faire face à Alaric Lestrange, car grâce à toi, celui-ci a surement plein de choses à lui dire.

Face à sa provocation, tu épouses le mur puis sursautes quand les portes des cabines s'ouvrent brutalement. Tu voudrais avoir le même pouvoir, réussir à faire ce qu'elle fait avec tant d'aisance. Tu maudis les sorciers et leur arrogance.

— « J'aurai du serrer plus fort, my bad. »

Petit (sale) con quand tu t'y mets Val, parce que t'aimes pas l'idée de la laisser gagner aussi facilement. Tu céderas pas à la peur.
Elle s'arrête au milieu de la pièce et tu pressens, d'instinct, qu'elle n'osera pas te lancer de maléfice. Tu connais Iphigenie, pour avoir vécu avec elle pendant des années, pour l'avoir espionné à l'école, pour avoir fait une putain de fixette dessus.

— « Mourir ? Et c'est toi qui va prononcer la formule peut-être ? Ou Jasper ? J'espère que t'as pu constater à quel point sa maladie mentale s'aggrave. »

Si tu veux t'en sortir t'as pas trente-six manières de ruser.
Y aller au culot.
Tu te décolles du mur et avances de quelques pas.

— « Tu dis que je mens mais c'est moi qui était enfermé dans cette cave. Tu dis que je gâche mes chances mais t'as aucune idée de ce que je vivais à la maison. Tu dis que je vais mourir et c'est ton taré de frère qui veut me buter. »

Tu oses lever la main pour attraper sa baguette, tires dessus.

— « Tu fais quoi avec ça ? »

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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Jeu 4 Nov - 19:06
Nos corps à la dérive


En réponse à tes élucubrations elle étire un sourire en coin et ricane un peu, l'air à la fois hautain et perplexe. Elle a pu constater, oui, mais ça tu n'as pas à le savoir. La surprise pour dépeindre un instant ses traits lorsque tu te décolles du mur, elle reprend bien vite son masque de colère sans pour autant réagir physiquement.

Qui t'a dit de bouger ?

Personne.

Pourtant tu t'approches de plus en plus, lui parle encore encore encore et elle a envie de gerber. La rage dans ses iris lorsque tu te retrouves au plus près d'elle. T'as du culot Valerian, pour un Cracmol sans une once de magie. Tes doigts pour tirer sur sa baguette. Iphigenie ne relâche pas sa prise, au contraire même. Elle vient tirer plus fort pour t'attirer à elle avant de balayer tes jambes pour vous faire tomber au sol.

La provocation dans les yeux alors qu'elle est assise sur ton bassin, sa baguette de nouveau pointée contre ta gorge, à quelques millimètres à peine de ta peau.

T'avais plutôt l'air d'apprécier la vie chez nous, un peu trop même. Tu t'en souviens pas vrai ?

De toi qui la regarde.
Une fois.
Deux fois.
D'elle qui te prend sur le fait.

Elle sait que tu t'en souviens.
De ça et de tout le confort dans lequel tu vivais, celui qui t'a empêché d'être autre chose qu'un glandeur pendant toutes ces années.

Si tu as finis dans cette cave c'est parce que tu as trahi. Prouve-moi le contraire Valerian, prouve-moi qu'on te faisait vivre un enfer et je te laisse tranquille.

C'est impossible, puisque ce n'est pas la réalité.

Et n'essaie pas de reprendre ma baguette ou je te coupe les doigts. Compris ?

Cette fois elle n'hésitera pas.


Résumé : Un peu saoulax qu'il reste pas contre le mur mais bon. Du coup il vient, il parle, lui choppe sa baguette mais elle est pas ok alors balayette pour le faire tomber. Elle s'assoit sur lui, elle parle, ressort subtilement (ou pas) les vieux bails et lui demande des preuves de sa maltraitance avant de le menacer. Aussi elle esquive le sujet Jasper volontairement et elle lui fait comprendre qu'il a un peu cherché son enlèvement (même si elle cautionne pas)


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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Ven 5 Nov - 11:29

(wizgala) nos corps à la dérive
octobre 2031

Qui t'a dit de bouger ? tu la toises d'un air furieux. T'as besoin de personne pour te dire quoi faire ! Cette suffisance qu'ils ont avec toi, eux et leur pseudo-puissance, ça te fout les nerfs à l'envers. Tu rêverais de leur prouver des choses Valerian... Tu rêverais d'avoir ce fichu vaccin sous la main pour te l'inoculer une bonne fois pour toutes, pour récupérer cette magie qu'on t'a illégitimement volé à la naissance - la cause de tout tes maux.

— « Tu te crois en position de me donner des ordres ? »

Tes jambes qui lâchent et tu tombes lourdement sur le carrelage dans un râle de douleur. Allongé sur le sol, ton chapeau haut de forme a roulé sur le côté et tes boucles brunes trempent un peu dans l'humidité. Assise sur toi elle serait presque aguicheuse si c'était pas juste une chieuse.

— « C'est pas la vie que j'appréciais là-bas. »

Sous entendu à peine voilé. Tu as tout de suite compris à quoi elle faisait référence, et malgré toi, sous le poids de la honte, tes joues chauffent un peu.
L'appréciation que tu lui confères s'étiole lentement quand elle légitime Jasper et ses actes. Ça te fait péter un plomb alors tu remontes les genou et tape du pied sur le sol.
Bruyamment.

— « Ton père était un connard hypocrite, et Jasper n'a jamais été le grand frère idéal. »

Serpent, les arguments, il s'évertue à te les donner ! Plus il devient fou et plus tu gagnes en crédibilité.

— « Il m'a frappé. Il boit. Il le cachait plus jeune mais il a pas vraiment changé, c'est juste que ça s'est aggravé. »

Tu redresses le haut du corps, appuyé sur tes coudes, pour la défier du regard.

— « Toi aussi tu doutes de lui maintenant, hein ? Admets-le. »

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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Ven 5 Nov - 12:29
Nos corps à la dérive


C'est pas la vie que j'appréciais là-bas.
Tu-

La surprise qui brille dans les iris alors qu'elle te regarde, et malgré ses poings toujours serrés c'est bien son coeur qui loupe un battement ou deux quand elle réalise. Merde. Elle sent un frisson remonter le long de son échine alors qu'elle se bat contre elle-même pour ne rien laisser paraître des troubles que ces seuls mots ont réveillés. Si tu savais, Valerian. Mais parce qu'il ne faut pas que tu saches elle se raccroche à sa colère, rebondit à la suite de tes mots pour mieux t'enfoncer.

Parce que tu l'as réellement cherché, tu sais ?
Que Jasper ait eu raison ou tort, c'est toi qui a commencé et ça elle n'est pas prête de l'oublier.

Tes genoux que tu redresses d'un seul coup, tape des pieds sur le sol et le mouvement la fait basculer un peu plus en avant. Elle se rattrape de ses deux mains autour de ta tête et rompt ainsi le contact de sa baguette à ton cou. Qu'importe, tant qu'elle la garde en main tu ne pourras pas faire grand chose, pas vrai ? Le regard assassin qui se pose dans le tien quand tu insultes Jasper, encore. Peu importe son père, peu importent les autres mais laisse son frère tranquille.

Arrête, la ferme.

Ne lui fais pas avouer que tu as raison, qu'elle doute elle aussi.
C'est le seul Fawley à n'avoir jamais reçu le moindre coup !
Est-ce que c'est vrai Jasper ?

Ça bat beaucoup trop lentement dans sa poitrine.
Merde.

C'est bon, t'as gagné. C'est ce que tu voulais entendre ?

Finalement capitule. Le ton est amer pourtant, tant ça lui arrache la gorge de le formuler à haute voix, même à demi-mot. Le truc c'est qu'elle ne t'a pas attendu pour remarquer qu'il y avait un problème, tu sais.

Et maintenant ? Ça ne change rien Valerian.

Au contraire, ça change tout.
Autant tes perspectives que les siennes, alors qu'elle te regarde à peine moins durement qu'un peu plus tôt.

Parce qu'on ne parle pas de Jasper ni de mon père, on parle de toi. Et de moi. Mais tu le réalises pas, hein ?

À quel point tout ça l'a blessée, à quel point elle est paumée désormais. Le ton a beau être dur, elle est fatiguée, Iphigenie. Et elle profitera de tout ça à son avantage, sans te laisser le loisir de démêler le vrai du faux. Elle te perdra autant que tu as su la perdre et elle se vengera.

Ton témoignage au procès m'a brisée.




Résumé : La surprise, le déni, les aveux, l'envie de vengeance. Le bordel quoi mdr


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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Mar 9 Nov - 22:56

(wizgala) nos corps à la dérive
octobre 2031

La ferme qu'elle siffle entre ses dents blanches. Tes petits yeux sombres luisent avec malveillance et pourtant tu soutiens son regard sans ciller une seule fois. Tu veux qu'elle marche dans ton jeu, qu'elle te croie à la vie à la mort comme on dit, qu'elle ne décèle aucun tremblement dans ta voix qui puisse te trahir. Tu veux Iphigenie Fawley dans ton camp de la victoire quand tu enterreras Jasper une bonne fois pour toutes.

Elle tombe à moitié sur toi et tu pourrais paniquer, être intimidé de cette proximité avec une jolie femme et si les battements de ton coeur s'accélèrent, tu ne laisses rien paraitre. Si tu paniques tu vas vomir, si tu t'excites trop tu vas t'évanouir. C'est pas bon Valerian, tu dois garder l'allure de l'homme fier et non du jeune garçon encore immature.

— « Oui. C'est ce que je voulais entendre. »

Et tu réponds ! Insolent, décadent. Tu te redresses un petit peu, toujours en équilibre sur tes coudes puis souffles sur ses lèvres comme si c'était facile. Il te faut pourtant beaucoup de courage pour en avoir l'audace.

— « Maintenant quoi ? »

Tu ne peux pas cacher les rougeurs sur tes joues quand elle dit toi et moi ; mais s'échappe un rire amer et sardonique d'entre tes lèvres.
Comme si c'était trop gros pour être vrai, tu préfères te moquer que d'être moqué.

— « T'es plutôt vaillante pour une personne brisée. »

Détournes le regard en fronçant les sourcils, n'aimes pas du tout être acculé par la pitié.

— « J'ai fait ce que je devais faire. »

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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Mer 10 Nov - 17:20
Nos corps à la dérive


Sourire en coin qui s'étire alors que tu te redresses encore, te rapproche toujours plus pour souffler sur ses lèvres tandis qu'elle te toise elle aussi sans ciller. Le blanc de ses yeux dans le blanc des tiens, les mots sortent amers mais le regard est sérieux. Alors quand tu ironises elle ne peut s'empêcher de sourire encore, sourire plus fort. Souffle de son nez sur tes lèvres en retour, si tu savais Valerian.

Comme elle se retient en cet instant.

Tu préfèrerais que je me lamente sur mon sort peut-être ? Tu as déjà déposé les droits pour ça.

Le sarcasme qui s'échappe alors que se dessine sur son visage un sourire plus amusé. Elle voit bien les rougeurs à tes joues, ça lui donne encore plus envie de continuer. Pour voir jusqu'où tu es capable de supporter. Lorsque tu dévies ton regard ses doigts glissent à ton menton pour empêcher ton visage de suivre, et lentement elle se rapproche. Encore, encore, encore pour s'arrêter à seulement quelques millimètres de tes lèvres. Elle a le sourire confiant, Iphigenie. Confiant mais peut-être un peu triste aussi, ça se lit dans ses yeux avant qu'elle ne te demande.

Et qu'est-ce que tu voudrais faire, Valerian ?

Qui ne soit pas une obligation.

Regarde-moi.

La prise à ton menton qui se resserre.
Lève les yeux.

Est-ce que tu m'aimes ?

Elle n'aurait jamais dû demander ça, mais il est trop tard maintenant.
Merde.




Résumé : Elle le clash un peu, se moque mais lui demande ce qu'il veut faire pck monsieur semble n'avoir que des obligations dans sa vie. Puis elle se rapproche pck elle le voit rougir et lui demande impulsivement s'il l'aime.


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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Ven 12 Nov - 21:55

(wizgala) nos corps à la dérive
octobre 2031

Tu ne sais pas si tu préférerais qu'elle se lamente. Une part de toi en jubilerait c'est sûr... pendant un temps seulement. Viens après le goût amer du regret, celui que tu es certain de n'avoir jamais ressenti. Pourquoi est-ce qu'il remonterait en reflux digestif avec elle ? T'as la gerbe Valerian, n'aimes pas du tout qu'elle joue sur la pitié. Tu préfères encore la haine et la colère, ces émotions là ne te forcent pas à réfléchir. Elles légitiment tes petits coups de pute. Si tu n'as plus ça alors il te reste quoi ?

— « Lamente toi si tu veux, ça ne changerait rien. »

Tu es têtu quand tu le veux, surtout de mauvaise foi quand tu es acculé. Elle t'ordonne de la regarder, sa prise à ton menton que tu n'as pas encore rejeté. Elle te demande ce que tu voudrais faire et c'est bien la première fois qu'on te pose cette question.
Ça te prend de court, tu cherches d'abord le piège, fais semblant de pas comprendre. Tu lui tiens tête, le visage toujours déformé par la rage avant de devenir livide.

Est-ce que tu m'aimes ?
— « Quoi ? »
Est-ce que tu m'aimes ?

Tu écarquilles les yeux, mort de honte et de gêne. Mort de l'intérieur mais aussi en surface. Ton coeur a arrêté de battre et tu ne veux pas que ton silence te trahisse davantage alors tu... exploses.
De rire.
Tu exploses de rire.

C'est un rire nerveux et scandalisé, alors tu la repousses pour te tenir les cotes. Rouler sur le côté. Encore une seconde et c'était trop tard, elle aurait compris - capté dans ton regard. Que oui, tu l'aimes, d'une certaine manière dérangée. Tu l'aimes autant que tu voudrais qu'elle se salisse, être le seul à avoir le droit de la salir. T'es bizarre.

— « HAHAHA !! Attends, quoi ?! Mais tu délires j'espère ? Moi, t'aimer ? T'as fumé quoi avant de venir ma vieille ???? »

Et sans prévenir tu te redresses et l'embrasses. Pousses sur tes coudes et fermes les yeux. C'est maladroit et immature.

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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Mar 16 Nov - 0:19
Nos corps à la dérive


Ton rire qui explose dans la pièce, fend l'air avec dédain alors que tu la pousses brusquement en arrière. Et elle tombe sur tes jambes, Iphigenie, perplexe. Hausse les sourcils un peu désabusée, elle n'a plus qu'à attendre maintenant. En silence avec ce sourire, souffle de rire avorté, au bord des lèvres pour ne pas te montrer que ça pique un peu la dignité.

Tu sembles bien t'amuser.

Ne peut-elle s'empêcher de lancer juste avant que tu ne viennes l'embrasser. La figer de stupeur à ton tour, comme elle l'avait fait juste avant. Ce n'est pas un baiser agréable, c'est un baiser maladroit auquel elle ne met pas longtemps à répondre, glissant une main dans tes cheveux pour les agripper doucement. L'autre sur ta joue alors que son souffle se perd à tes lèvres, elle se laisse porter Iphigenie, par toi, par l'instant. Par cette sensation de creux au fond de l'estomac qui lui donne envie de plus, la fait forcer à tes lèvres sans te laisser la possibilité immédiate de te reculer.

Tu viens de la libérer.

Alors de maladroit les gestes, en tout cas les siens, se font plus assurés quand elle prolonge encore le contact de vos lippes, le rend plus intense alors que sa langue vient chercher la tienne et que ses doigts glissent de ta joue au creux de ton cou. Elle veut te faire crever Valerian, que tu crèves tu manques d'air autant qu'elle crève de la situation.

Jasper te tuera s'il le découvre. La pensée lui fait louper un battement de coeur avant qu'elle ne plaque soudain ses mains contre ton torse pour te reculer, à bout de souffle. Il lui faut quelques instants durant lesquels elle reste immobile pour retrouver une respiration normale et ses idées puis elle relève légèrement la tête pour te regarder, railleuse.

Alors comme ça tu ne m'aimes pas, hein ? Menteur.

Ça l'arrange, tu sais.
Tout ça.

(ça lui fait plaisir aussi, au fond)

C'est une belle avancée vu la situation.

Jasper te tuera.
Tais-toi.

Elle se rapproche alors lentement, frôle tes lèvres avec délice avant de te demander. Te supplier, la voix fatiguée plus sincère que jamais.

Ne me rejette pas.

Avant de t'embrasser de nouveau, désespérée.
Jasper va me tuer.
Tant pis.

Ne l'abandonne pas Valerian.
On réparera les dégâts plus tard.




Résumé : euh bah ça fait des bisous et c'est cool hein. puis iphi a peur de l'abandon tout ça, tout ça grande joie on aime.


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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Sam 20 Nov - 13:02

(wizgala) nos corps à la dérive
octobre 2031

Quand tu l'embrasses, tu t'attends à prendre une gifle en pleine gueule. A mourir sous la honte ou à devoir en rire, pour la cacher. Tu t'attends à ce qu'elle se moque ou te rejette. Tu n'as plus peur de grand chose Valerian, mais le ridicule continue à te tuer à petit feu. C'est d'une surprise à en écarquiller tes yeux sombres, qu'Iphigenie répond à ton baiser. Elle force sa langue entre tes lèvres, t'étouffe.
Te prend de court, vole ton souffle. Tu peines Valerian, à lui rendre l'intensité qu'elle y met. Tu enroules tes bras autour de son cou, la presses un peu plus contre toi.

Quand elle se détache enfin, tu t'enfonces un peu plus sur le sol, la scrutes à la fois méfiant et sonné.
Alors comme ça tu ne m'aimes pas, hein ? Menteur.
Tu réponds du tac au tac, presque agressif.

— « Tu as eu l'air d'y mettre du tien quand même. »

Ce n'était pas ton premier baiser, certes, mais jamais les précédents n'avaient eu ce gout là. Le goût de la hargne et de la passion, c'est fort et amer.

Tu ne comprends pas de quoi elle parle. Putain tu voulais lui faire mal, la battre sur ce terrain neutre et c'est toi qui te retrouve à terre. Tu n'interprètes aucun signaux Valerian, ne prépare pas de coups d'avance car tout ceci n'a absolument aucun sens. Sur l'échiquier des rois, tu es passé de fou à pion.

— « De quo- »

Et elle t'embrasse encore.
Cette fois tu gardes les yeux ouverts. Tes doigts rampent impudiques sur son dos, se glissent sous les doublures de sa robe pour se loger au creux de ses reins. Appuies pour la cambrer un peu plus. Tu embrasses bruyamment, recules jusqu'à te cogner contre le placard sous les lavabos. Tu en profites pour tourner la tête, la main baladeuse toujours présente sous ses vêtements.

— « Attends attends. Tu me détestes pas ? »
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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Sam 20 Nov - 15:55
Nos corps à la dérive


Tu as l'air déçu.

Tes lèvres qui étirent un sourire plus amusé qu'offusqué par sa réaction. C'est normal après tout qu'il n'y comprenne rien quand toi-même tu n'as aucune idée de ce que tu fais. Ce que tu sais c'est que tu apprécies ses mains autour de ta nuque, l'expression de son visage lorsqu'il est surprit et perdu. Tu sais que tu aimes la sensation de ses lèvres sur les tiennes et que tu aimerais recommencer. Qu'il y mette du sien lui aussi, pour de vrai.

Alors tu t'approches encore, sûre de toi lorsque vos lèvres se frôlent, effrayée sans qu'il ne puisse le remarquer. Tu le livres à lui en une demande sûrement trop subtile pour qu'il la comprenne et tu l'embrasses une seconde fois. Glisse tes mains dans son dos quand ses doigts passent le tissu de ta robe pour venir se balader sur ta peau, dans le creux de tes reins et t'arracher un léger frisson. Suit le mouvement de ses mains pour te cambrer plus contre lui alors que tes doigts remontent lentement caresser sa nuque puis sa gorge, tu te presses un peu plus encore contre son bassin en étirant un sourire satisfait.

Puis tes doigts rencontrent avec lui l'un des meubles sous l'évier et il en profite pour stopper le baiser. Si ça t'agace réellement, tu n'en montres qu'une légère grimace avant d'éclater d'un rire mesuré à sa question.

Est-ce que ça a l'air de ça ?

La malice dans tes yeux alors que tu descends jusqu'au creux de ses reins pour à ton tour relever ses vêtements et poser tes doigts sur sa peau. Tu le pinces faiblement, juste pour le plaisir de le voir réagir et consolider un peu plus ce que tu façonnes de vous.

Je ne t'ai jamais détesté Valerian. Même après tout ça, surprenant hein ?

Entre honnêteté et mensonges éhontés.

Et ça, je le voulais depuis longtemps. Je le voulais encore malgré que tu ais manqué de me tuer pour fuir et que tu m'ais humiliée. Ça en dit long sur moi j'imagine.

La mine un peu plus sombre alors que tes ongles griffent lentement la peau de son dos, te faisant te serrer un peu plus contre lui. Elle est douce, c'est agréable. Sourire en coin qui s'érige à tes lèvres.

Je t'en veux toujours énormément ceci dit, mais doit-on vraiment parler de ça maintenant ?

Lancé comme une provocation.




Résumé : flemme.


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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive Mar 23 Nov - 22:58

(wizgala) nos corps à la dérive
octobre 2031

Déçu ? Non. Déboussolé ? Oui. Merde, cette fille est encore plus frappée que tu l'avais imaginé. Comment est-ce que vous en êtes arrivé là ? Vous étiez à vous cracher des insultes, et la chaleur a maintenant dégelé le froid installé entre vous depuis le procès.
Tu la laisses prendre le contrôle, bien trop inexpérimenté pour réclamer quelconque autorité. Ce qu'elle dit semble dissonant à tes oreilles, ça sonne faux et invraisemblable. Pourtant, tu te laisses (idiot) happer par son discours, séduire par ses formes et son beau visage, ensorceler par sa voix cristalline.

— « Surprenant ? Carrément angoissant ouai. »

Pourtant tu ne dis pas non au gout de ses lèvres, au toucher de ses doigts dans ton dos. Tu heurtes le placard et elle se redresse. S'amuse à relever ta chemise déjà froissée. Tu grimaces quand elle te pince la peau. C'est pas vraiment douloureux, juste complètement dingue. Iphigenie Fawley au dessus de toi, qui t'avoue qu'elle en a envie.
Dans quel monde c'est censé arriver ?

— « Attends attends attends. »

Pause.

— « Quoi ? »

T'as les yeux qui pétillent.

— « C'est vrai ? »

T'as le front chaud et les joues rouges. Tu tiens en équilibre sur tes mains, les coudes vers l'arrière. Un peu largué Valerian. Est-ce que ça sonne comme une menace ? Est-ce que tu dois exprimer de la culpabilité ? Tu te mords la lèvre.

— « Et je suppose que je vais devoir me faire pardonner... »

Entre rêve et cauchemar, tout ce que tu sais c'est que t'es bien éveillé.
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[WIZGALA 2031] Iphigenie & Valerian — Nos corps à la dérive
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