Le plus ancien témoignage rapportant l’utilisation de balais magiques pour voler dans les airs, remonterait à l’an 962 ap. J.C. ; mais rien n’indique depuis combien de temps les sorciers s’en servent comme moyen de transport. Il fut certainement choisi pour sa facilité à être dissimulable à l’oeil des moldus, ainsi qu’à son aisance de transport. Les siècles passants, ils devinrent des objets à caractères sportifs pour un certain nombre d’activités. Depuis 1820, un sortilège de Coussinage, inventé par Elliot Smethwyk, est lancé sur tous les balais pour que leur assise soit agréable.Description de la compagnie : Petite compagnie pourtant le nom de la ville dans laquelle elle est née dans le Nord de l’Écosse, elle est fondée en 1975 par Jenna Chattan. C’est la plus ancienne compagnie de balais volants connue pour ne produire que des balais destinés à la vie de tous les jours, dit familiaux. Elle connaît peu la concurrence, ce qui fait que ses produits se vendent bien, qui plus est ils sont de bonne qualité, esthétique, pratique et surtout abordables. Cette année il sortent un nouveau modèle, cela faisait presque dix ans qu’ils n’avaient pas produit un nouveau balai.

Entièrement conçu en cèdre, ce qui lui donne des reflets lie de vin, ce balai était et reste un des balais familiaux les plus appréciés. Il est équipé d’un système intégré de contrôle des vibrations, avec un frein doux, mais très efficace et il permet aussi le port d’enfants en bas âges pour une vitesse de 100 km/h. Il a gagné quelques prix au début des années 2000 quand il est sorti.
Le prix : 80 gallions.

Le bois du manche est fait de sapin alors que les brindilles de la queue sont en cyprès. Le balai aborde donc une couleur plutôt claire et il est plutôt long, ainsi que résistant au poids. Il est capable d’atteindre les 110 km/h tout en portant trois personnes adultes n’excédant pas les 60 kg chacunes. Il est équipé d’un système d’antivol.
Le prix : 85 gallions.

Le manche de ce balai est taillé dans le tronc d’un aulne noir et les brindilles de sa queue sont faites de sorbiers, ce couplage donne de très beaux reflets rouges/orangés sur le bois. Ce balai a la capacité d’atteindre 130 km/h et il est équipé d’un GPS avec correcteur de trajectoire, ainsi que d’un système d’antivol.
Le prix : 90 gallions.
Description de la compagnie : Les Etiams, sont une gamme de balais volants de type familial créé par la Compagnie de la Comète. Ils se déclinent en plusieurs chiffres ou numéros, comme les anciens balais Comètes et ils ont été créés au début des années 2000 quand la Compagnie n’arrivait plus à produire des balais de compétitions à la hauteur. Tout comme les autres balais de la Compagnie, ils présentent une gravure de comète sur leur manche en bois. La production de l’Etiam 140, le premier de la lignée a été arrêté en 2026 à la sortie du dernier modèle en date, l’Etiam 260.

Ce balai est entièrement composé de chêne vert et il est recouvert d’un vernis antimaléfice. Il est possible de monter à deux sorciers dessus tout en volant à 100 km/h sans prendre en compte le vent. Ce modèle n’a rien de particulier, mais il reste le moins cher des balais de type familial, c’est sûrement pour cela que sa production est toujours en activité.
Le prix : 75 gallions.

Le bois du manche est taillé dans un châtaignier et les brindilles composants la queue du balai sont de l’aubépine. C’est un balai permettant le voyage de deux sorciers en simultané, tout en volant à 120 km/h. Il est recouvert d’un vernis antimaléfices et équipé d’un système d’antivol.
Le prix : 90 gallions.

Le Magicobus est un bus à impériale violet, de type AEC Regent III RT variant du plus classique AEC Regent III manufacturé par l’AEC et enchanté par des sorciers au cours des années cinquante. Se déplaçant à une vitesse extrême, plusieurs sortilèges lui permettent d’éviter les obstacles sur son chemin, par exemple, en le rendant plus petit pour passer entre deux voitures. Malheureusement pour ses passagers, ils sont aussi affectés par ces distorsions peu agréables — n’ayez crainte, ces effets sont temporaires et ne sont pas dommageables pour la santé ! Pour appeler le bus, le sorcier n’a qu'à lever sa baguette, de la même façon qu’un Moldu hélerait un taxi, mais il est possible d’acheter des billets à l’avance — le Chaudron Baveur offre des tickets dans ses forfaits de location de chambre.

Le Magicobus, même si certains puristes Sang-Pur ont vivement critiqué sa création et son intégration au monde magique — certains ont même été jusqu’à annoncer leur intention de boycotter cette “abomination”, bien que cela n’ait jamais réellement gagné de traction, a énormément bénéficié celui-ci. C’est une invention relativement récente — s’il n’est entré en circulation qu’en 1950, le projet avait été évoqué en 1868, dont le but était d'offrir aux sorciers qui ne sont pas majeurs et aux infirmes, un moyen de transport discret et sécuritaire, puisqu’il n’y avait pas réellement d’options viables.Un Portoloin est un objet magique, d'apparence anodine, utilisé par les sorciers pour se déplacer d'un endroit à un autre, à un horaire précis.

Le sort utilisé pour en créer un est Portus.
Il existe un Office des Portoloins au Département des transports magiques du ministère de la Magie. Il faut d'ailleurs l'accord du ministère pour créer un Portoloin.

Il suffit de toucher d'un seul doigt le Portoloin pour être transporté immédiatement à l'endroit prévu. Le Portoloin peut partir à une heure prévue à l'avance ou lorsqu'une personne le touche. Afin de ne pas attirer l’attention des moldus, on utilise généralement des objets usagés et d’apparence anodine. Le Portoloin n'est pas un moyen de transport confortable et peut provoquer des sensations souvent désagréables, des nausées ou des étourdissements. L’utilisateur, après être entré en contact avec le Portoloin, a l’impression qu’un crochet l'agrippe au niveau du nombril et le tire vers l’avant, quittant le sol et est aspiré dans un tourbillon de couleurs et un sifflement semblable à celui du vent. Les personnes victimes de ses effets secondaires ont le "mal du Portoloin". Son usage est fortement déconseillé par les médicomages aux personnes âgées, aux malades et aux femmes enceintes.Le Poudlard Express est le train qui fait la liaison entre la  gare de King’s Cross, Londres, et la gare de Pré-au-Lard, à deux pas de Poudlard. Il fait ce voyage au moins quatre fois par an. Il part le 1er septembre à onze heures précises du Quai 9 ¾ de King’s Cross et arrive à Pré-au-Lard en début de soirée. La plupart des étudiants reviennent à Londres avec ce train pour rentrer chez eux pour les vacances de Noël et de Pâques. Le train repart également en direction de Londres à la fin de l’année scolaire, en juin. Les wagons sont tirés par une locomotive à vapeur rouge.

Après avoir utilisé des Portoloins, qui rendaient malades bon nombre de jeunes sorciers, et qu’un tiers des élèves ne parvenaient pas à utiliser chaque année faute de les avoir trouvés à temps, et après avoir écarté l’idée du Réseau de la poudre de Cheminette du fait du refus de ses directeurs d’y raccorder leurs cheminées, le Ministère de la Magie réfléchit à un autre système, et c’est la Ministre de la Magie, Ottaline Gambol, qui s’intéressait beaucoup aux inventions moldues, qui a vu un potentiel dans les trains et est à l’origine de la création du Poudlard Express, même si cela n’a jamais été confirmé officiellement. Ainsi, un jour, un train disparu mystérieusement de la ville anglaise de Crewe (Cheshire) et le lendemain matin un train flambant neuf arrivait dans la gare, elle aussi surgit de nulle part pendant la nuit, de Préaulard. Le Poudlard Express est désormais le seul mode de transport autorisé pour que les élèves se rendent à Poudlard, malgré l’opposition initiale de Sang-Pur conservateurs.S’il était précédemment mal vu d’user d’objets moldus dans la vie quotidienne, le courant de modernité qui s’est abattu sur le monde sorcier au cours des dernières décennies a finalement eu raison des réserves des plus récalcitrants. Il n’est pas rare, aujourd’hui, de voir des familles remplacer les balais par des voitures magiques, autant pour l’espace que le confort offert par celles-ci. Divers enchantements sont appliqués sur les véhicules, passant du vol à l’invisibilité, des antivols aux antimaléfices, toujours avec le classique sort de Désillusion. Ce n’était probablement pas par souci d’écologie, mais les employés du Service des détournements de l'artisanat moldu ont trouvé le moyen d’enrayer le besoin d’essence, rendant leurs créations vertes pour l’environnement.

Il faut effectuer une demande auprès du Ministère de la Magie, qui étudiera le dossier du sorcier — notamment si celui-ci possède un permis magique (possibilité de l’obtenir une fois majeur, après un cours, au même titre que le permis de transplanage). Le Service de détournements de l’artisanat moldu se chargera ensuite de personnaliser les enchantements du véhicule aux besoins de son utilisateur.La poudre de cheminette est une poudre magique, qui permet de voyager dans le réseau des cheminées magiques.

Son utilisation est simple, il faut se placer au milieu de la cheminée avec une poignée de poudre. Le voyageur annonce sa destination, clairement et à voix haute, puis jette la poudre dans le feu qui devient vert. Le sortilège se charge ensuite de l'emmener à destination.

La poudre de cheminette a été créée par Ignatia Wildsmith, au début du XIIIe siècle.
Divers accidents arrivent régulièrement après que des sorciers tentent de créer leur propre poudre de cheminette. Ces accidents sont tellement courants qu'une expression : « Cheminetta Falsa », a été créée pour qualifier ceux-ci.

Sa fabrication est strictement contrôlée et le seul producteur autorisé à fabriquer cette substance magique en Grande-Bretagne est une société appelée Poudchem.
Le monde magique n'a jamais connu de pénurie de poudre de cheminette et son prix n'a pas changé au cours des cent dernières années : une mesure de poudre coûte toujours deux Mornilles.Le transplanage, également appelé Apparition et Disparition, est un moyen de déplacement très rapide pour les sorciers. Il est très utilisé, mais aussi très régulé par le ministère de la Magie, car il présente des risques pour son utilisateur.

Le transplanage est une forme magique de téléportation par laquelle une personne peut disparaître d'un endroit et réapparaître quasi instantanément dans un autre. Les sensations du transplanage sont décrites comme désagréables : tourbillon allant à toute allure, sensation d'enfermement ou d'écrasement... Il est également très désagréable pour une personne de se désartibuler. Ce risque, assez fréquent au début, est à l'origine de l'interdiction faite sans l'obtention du permis adéquat. Ce cours est dispensé aux étudiants majeurs, et donc âgés de dix-sept ans, des diverses écoles de magie par un envoyé du ministère.

Première étape : fixer résolument votre esprit sur la destination souhaitée.
Deuxième étape : concentrer votre détermination sur l'espace à occuper.
Troisième étape : tourner sur place en essayant de trouver votre chemin dans le néant et en accomplissant votre mouvement avec décision.
Attention : le désartibulement se produit quand l'esprit n'est pas suffisamment déterminé.

Le transplanage d'escorte permet à des personnes n'ayant pas le permis d'accompagner un sorcier qui transplane. Il suffit à l'accompagnateur de s'agripper très fort au sorcier expérimenté.

Certains lieux peuvent être protégés contre le transplanage, en utilisant divers enchantements et sortilèges.